Maxime Sorel (VnB – Monbana – Mayenne), dont la cheville inquiète toujours, et Szabolcs Weöres (New Europe) font tout pour trouver une zone d’accalmie afin de résoudre leurs problèmes de voiles. Le Vendée Globe mène la vie dure aux marins.
Chez Maxime Sorel, les ennuis ont volé en escadrille. Une nuit pour réparer son gennaker, une autre pour des soucis de grand-voile, une troisième pour essayer de l’affaler… Et puis il y a ce choc à la cheville qui gonfle et qui l’inquiète. « Des soucis techniques, on peut en avoir plein mais ma blessure à la cheville, ça engendre forcément pas mal de questions. Dès que je pose le pied sur une surface courbée, la douleur est permanente. Ça ne fait qu’enfler depuis le début, malgré le traitement et les anti-inflammatoires ». Dans le même temps, Maxime sait qu’il devra monter au mât pour résoudre son problème de hook et de chariot de grand-voile.
Autre skipper en prise avec les réparations : Szabolcs Weöres. Le skipper de New Europe a réussi à dégager son étai de la voile A7 endommagé depuis la veille. Pour y parvenir, il a bénéficié d’une accalmie pour monter au mât, jusqu’au point d’attache de l’étai. Il y est resté plus d’une heure avant de découper les sections de voile sur le pont. Comme Maxime, il aspire à continuer les réparations au plus vite et cherche la zone qui s’y prête le plus. De quoi garder espoir avant, il l’espère, continuer sa longue route.
Source : M Honoré
Autre skipper en prise avec les réparations : Szabolcs Weöres. Le skipper de New Europe a réussi à dégager son étai de la voile A7 endommagé depuis la veille. Pour y parvenir, il a bénéficié d’une accalmie pour monter au mât, jusqu’au point d’attache de l’étai. Il y est resté plus d’une heure avant de découper les sections de voile sur le pont. Comme Maxime, il aspire à continuer les réparations au plus vite et cherche la zone qui s’y prête le plus. De quoi garder espoir avant, il l’espère, continuer sa longue route.
Source : M Honoré