Ils seront 25 marins du Vendée Globe à embarquer des instruments scientifiques pour récolter des données. Ce programme s’inscrit dans le cadre de la Décennie pour les Océans (2021-2030) grâce à un partenariat ambitieux conclu entre l’UNESCO, le Vendée Globe et la Classe IMOCA. « Si les scientifiques nous disent que c’est utile, que ça les aide dans leurs recherches, il faut les aider, explique Sam Goodchild. Nous allons là où ils ont peu de datas donc cela paraît logique ». Flotteur Argo, balises Argos, bouée dérivante, ... explications.
Un flotteur Argo, long d’1,70 m et pesant 20 kg, il sera déployé pour prélever la température et la salinité, données qui seront envoyées à la terre grâce aux satellites.
La bouée dérivante ou bouée météo mesure la pression atmosphérique, la température et le courant de surface. Pesant 20 kg et embarquée par huit skippers, elle se déploie elle aussi.
Deux balises Argos Marget II, d’1,3 kg, seront embarquées. Elles se déploient elles aussi et permettent de mesurer les courants marins. L’objectif est de mettre en évidence un grand courant marin et de participer à la sensibilisation sur la compréhension de l’océan.
Complémentaire des dispositifs précédents, la station météo est un boîtier fixé à l’intérieur du bateau qui mesure la prévision atmosphérique. Bien plus petite et légère (elle pèse 300 grammes), elle se fixe à l’intérieur du bateau et est reliée à l’ordinateur de bord.
Le TSG Gaillard, un dispositif de 10 kg, permet également de prendre des relevés en continu. Embarqué sur deux bateaux, il s’agit d’un outil à l’usage simple qui permet de mesurer la température et la salinité. L’Ifremer, qui l’a développé, souhaiterait étendre son usage au monde de la voile de loisir.
De son côté, le photomètre Calitoo est un petit appareil portable de 400 grammes qui sera présent sur cinq bateaux. Il prélève le taux d’aérosols présents dans l’atmosphère et les répartis en fonction de leur taille (fumées, gaz polluant, cristaux de glace, poussière). Cela permet de mesurer la profondeur optique, une mesure de la quantité de lumière qui est absorbée en traversant un milieu.
Enfin, trois skippers vont embarquer l’OceanPack. Il s’agit d’un outil qui permet de prélever des échantillons d’eau au fil du parcours. Cela permet de mesurer la salinité, la température, l’oxygène et la teneur en CO2.
À noter également que Paul Meilhat (Biotherm) dispose d’un planctoscope, un outil développé avec la Fondation Tara Ocean. Il s’agit d’un instrument qui capture des images en haute résolution de particules microscopiques comme du phytoplancton.
La bouée dérivante ou bouée météo mesure la pression atmosphérique, la température et le courant de surface. Pesant 20 kg et embarquée par huit skippers, elle se déploie elle aussi.
Deux balises Argos Marget II, d’1,3 kg, seront embarquées. Elles se déploient elles aussi et permettent de mesurer les courants marins. L’objectif est de mettre en évidence un grand courant marin et de participer à la sensibilisation sur la compréhension de l’océan.
Complémentaire des dispositifs précédents, la station météo est un boîtier fixé à l’intérieur du bateau qui mesure la prévision atmosphérique. Bien plus petite et légère (elle pèse 300 grammes), elle se fixe à l’intérieur du bateau et est reliée à l’ordinateur de bord.
Le TSG Gaillard, un dispositif de 10 kg, permet également de prendre des relevés en continu. Embarqué sur deux bateaux, il s’agit d’un outil à l’usage simple qui permet de mesurer la température et la salinité. L’Ifremer, qui l’a développé, souhaiterait étendre son usage au monde de la voile de loisir.
De son côté, le photomètre Calitoo est un petit appareil portable de 400 grammes qui sera présent sur cinq bateaux. Il prélève le taux d’aérosols présents dans l’atmosphère et les répartis en fonction de leur taille (fumées, gaz polluant, cristaux de glace, poussière). Cela permet de mesurer la profondeur optique, une mesure de la quantité de lumière qui est absorbée en traversant un milieu.
Enfin, trois skippers vont embarquer l’OceanPack. Il s’agit d’un outil qui permet de prélever des échantillons d’eau au fil du parcours. Cela permet de mesurer la salinité, la température, l’oxygène et la teneur en CO2.
À noter également que Paul Meilhat (Biotherm) dispose d’un planctoscope, un outil développé avec la Fondation Tara Ocean. Il s’agit d’un instrument qui capture des images en haute résolution de particules microscopiques comme du phytoplancton.
Les 25 skippers qui embarquent des instruments de mesure :
Denis Van Weynbergh (Bouée Météo)Fabrice Amedeo (OceanPack + Flotteur Argo)
Yoann Richomme (Flotteur Argo + ARGOS Marget II)
Louis Duc (Bouée Météo)
Manu Cousin (Bouée Météo)
Louis Burton (Calitoo)
Jingkun Xu (Flotteur Argo)
Oliver Heer (OceanPack + Flotteur Argo)
Antoine Cornic (TSG Gaillard + Bouée météo + Station météo)
Tanguy Le Turquais (Station météo)
Kojiro Shiraishi (Flotteur Argo)
Sam Goodchild (Flotteur Argo + Calitoo)
Sébastien Marsset (Station météo + Argo Float)
Romain Attanasio (TSG Gaillard + Bouée météo)
Boris Herrmann (OceanPack + Bouée Météo)
Guirec Soudée (Flotteur Argo)
Maxime Sorel (Flotteur Argo)
Szabi WEORES (Flotteur Argo + station météo)
Arnaud Boissières (Bouée Météo + Calitoo)
Sam Davies (Calitoo)
Pip Hare (Calitoo)
Paul Meilhat (Planctoscope)
Nicolas Lunven (OceanPack)
Benjamin Dutreux (Station Météo)
Clarisse Crémer (Bouée Météo)
ScanVoile (avec agence)