Du 10 au 17 août prochains, Aloïse Retornaz participera au Championnat du Monde de 470 au sein d’un duo inédit. En effet, Hugo Le Clech remplacera Hippolyte Machetti à la barre, ce dernier ayant décidé de stopper sa préparation olympique en 470 pour raisons personnelles.
C’est un coup d’arrêt inattendu pour Aloïse Retornaz dans sa route vers les Jeux Olympiques de Paris 2024. À dix jours du championnat du Monde de 470 qui se déroulera à La Hague aux Pays-Bas, Hippolyte a décidé d’arrêter le 470, dériveur double olympique.
Aloïse Retornaz : « C’est un moment difficile, tout ça est assez soudain. Nous étions au milieu de notre campagne vers Paris 2024, la sélection était très serrée et notre duo fonctionnait plutôt bien. C’est aussi ça de naviguer en équipage, notre route est liée à celle de notre partenaire. Même si cette décision est assez brutale, je respecte le choix d’Hippolyte. »
Aloïse Retornaz : « Le mondial arrivant à grand pas, j'ai tout de suite décidé que je ne voulais pas m’arrêter là-dessus. J’ai appelé Hugo qui a une grosse expérience en 470 et il a tout de suite accepté ! Il a été 4 ans en équipe de France junior, notamment aux côtés de Colombe Julia. Nous avons déjà pu nous entraîner à Brest cette semaine, avant de partir aux Pays-Bas, cela s’est très bien passé, Hugo à la niaque ! Forcément, nous ne nous mettons pas d’objectifs de résultats, mais nous y allons avec l’envie de bien faire et surtout de prendre du plaisir sur l’eau, et qui sait... Et ensuite, il y la Women’s America’s Cup qui arrive à grands pas, j’ai hâte d’y être ! »
C’est avec beaucoup d’émotions qu’Hippolyte et Aloïse clôturent leur aventure, et ont à cœur de remercier toutes les personnes qui les ont suivis soutenus et encouragés. S’ils n’ont pas pu atteindre leur objectif final, les résultats du duo parlent tout de même pour eux : médaille de bronze au championnat d’Europe en 2023, médaille d’argent lors de la Semaine Olympique Française de Hyères en 2022, et sélection en medal race (finale) sur quasiment toutes les épreuves sur lesquelles ils se sont alignés.
Source : L Troel
Aloïse Retornaz : « C’est un moment difficile, tout ça est assez soudain. Nous étions au milieu de notre campagne vers Paris 2024, la sélection était très serrée et notre duo fonctionnait plutôt bien. C’est aussi ça de naviguer en équipage, notre route est liée à celle de notre partenaire. Même si cette décision est assez brutale, je respecte le choix d’Hippolyte. »
Et la suite ?
La Sablaise n’est pas du genre à s’arrêter comme ça. Elle a déjà rebondi en choisissant de s’associer à Hugo Le Clech pour ce championnat du Monde. Hugo, 22 ans, licencié à la Société des Régates de Térénez, est ravi de pouvoir renfiler sa combinaison et de remonter sur le 470 qu’il avait laissé au port depuis le dernier championnat du monde en octobre 2022 ! Hippolyte, de son côté, réfléchit déjà à la suite à donner à sa carrière.Aloïse Retornaz : « Le mondial arrivant à grand pas, j'ai tout de suite décidé que je ne voulais pas m’arrêter là-dessus. J’ai appelé Hugo qui a une grosse expérience en 470 et il a tout de suite accepté ! Il a été 4 ans en équipe de France junior, notamment aux côtés de Colombe Julia. Nous avons déjà pu nous entraîner à Brest cette semaine, avant de partir aux Pays-Bas, cela s’est très bien passé, Hugo à la niaque ! Forcément, nous ne nous mettons pas d’objectifs de résultats, mais nous y allons avec l’envie de bien faire et surtout de prendre du plaisir sur l’eau, et qui sait... Et ensuite, il y la Women’s America’s Cup qui arrive à grands pas, j’ai hâte d’y être ! »
C’est avec beaucoup d’émotions qu’Hippolyte et Aloïse clôturent leur aventure, et ont à cœur de remercier toutes les personnes qui les ont suivis soutenus et encouragés. S’ils n’ont pas pu atteindre leur objectif final, les résultats du duo parlent tout de même pour eux : médaille de bronze au championnat d’Europe en 2023, médaille d’argent lors de la Semaine Olympique Française de Hyères en 2022, et sélection en medal race (finale) sur quasiment toutes les épreuves sur lesquelles ils se sont alignés.
Source : L Troel