Sebastien Simon au départ de la Transat Jacques Vabre avec Arkea Paprec, la dernière course pour le duo

 

Alors que Arkéa et Paprec ont lancé leur programme de sponsoring conjoint en janvier 2018, les deux marques se projettent désormais à l’horizon 2024 avec un nouveau projet professionnel visant les places d'honneur pour le prochain Vendée Globe. Avec la Transat Jacques Vabre, Sébastien Simon signera sa dernière course sous les couleurs d’ARKEA PAPREC. 

 

Crédit : PolaRyse

Sébastien Simon et Arkea Paprec se séparent

Arkéa et Paprec créeront dès le début de l’année 2022, une structure commune de course au large. Dirigée par Romain Ménard, ex-pilier de l'écurie de Jean-Pierre Dick, cette structure aura pour vocation de préparer au mieux un nouveau tour du monde sans escale et sans assistance. Des études sur la faisabilité d'un nouvel IMOCA seront lancées en parallèle de cette nouvelle organisation.
 
En l’absence d’une vision partagée sur cette évolution centrale, Sébastien Simon signera, avec la Transat Jacques Vabre, sa dernière course sous les couleurs d’ARKEA PAPREC. Les deux groupes travaillent actuellement sur cette évolution globale qui visera à présenter un projet compétitif pour le Vendée Globe 2024 et affichant un message fort pour la protection de l’environnement. Une réflexion sur le choix du skipper qui portera les couleurs d’ARKEA PAPREC à partir de la saison 2022 sera menée prochainement.
 

Sébastien Simon et Yann Eliès associés pour la Transat Jacques Vabre 

C’est un duo complémentaire et plein d’envie qui mènera ARKEA PAPREC sur la prochaine Transat Jacques Vabre. Pour sa deuxième participation avec ARKEA PAPREC, Sébastien Simon a choisi d’embarquer l’expérimenté Yann Eliès. « J’ai beaucoup d’admiration pour Yann. Nous sommes différents mais complémentaires. Yann va m’apporter son expérience et je vais lui apporter tout le savoir que j’ai acquis à bord de mon Imoca. Mon énergie et ma motivation aussi ! J’espère faire un beau résultat. Pour moi, ARKEA PAPREC en a encore beaucoup dans le ventre. À nous d’exploiter ce potentiel au maximum. »

 Source : M Fraleux