En 18e position sur le Vendée Globe, Jérémie Beyou, skipper de Charal, constaté un début de déchirure de la voile d’avant, le J2. La voile a été enroulée pour la préserver mais le marin va devoir monter au mât pour la réparer.
Crédit : G.Lebec
Les conditions actuelles jusqu’au Cap Horn ne permettront pas au skipper de monter au mât. Jérémie Beyou devra donc affronter les plus de 50 nœuds de vent attendus au Horn avec la plus grande prudence.
Pour rappel, le J2 est la voile qui reste toujours à poste. En effet, son étai est structurel (il tient le mât). Difficile donc de l'affaler. Ce foc de 100 m2 environ est une pièce maitresse de la bonne marche du bateau.
Source : Charal Sailing Team