« Mine de rien, ça change tout psychologiquement de se retrouver vraiment tout seul », exprime Clarisse Crémer (Banque Populaire) qui s’engage dans son premier Vendée Globe. En plus d’assumer tous les rôles à bord de son voilier et de gérer son mental, son stress, son sommeil et les imprévus, il faut aussi parfois accepter de ne pas toujours être à 100%, reconnaît Kevin Escoffier (PRB). Dans ce quatrième épisode, Loïck Peyron revient sur le métier de marin de course au large.