Dans moins de 200 jours, Maxime Sorel, skipper de l'IMOCA V and B – Mayenne, prendra le départ de son premier Vendée Globe au large des Sables d’Olonne. Il raconte.
Crédit : JM Liot
"Je profite de ce moment pour avancer sur des sujets liés au Vendée Globe"
« Depuis le début de notre projet début 2019, nous mettons tout en œuvre pour être au départ du Vendée Globe dans les meilleures dispositions. Malgré la période de confinement forcée, nous sommes, avec l’ensemble de mon équipe, restés focus sur cet objectif. Je profite de ce moment imposé pour avancer sur des sujets totalement liés au Tour du Monde ce qui n’était pas prévu puisqu’initialement nous serions plutôt en mode « The Transat ».Nous avons donc préparé la liste du matériel à embarquer, bossé sur les procédures de réparation et de changement de pièces et nous avons imaginé les différents scénarios possibles s’il y a une casse à bord. J’ai épluché également la météo » déclare Maxime Sorel, parrain national de Vaincre la Mucoviscidose.
Maxime Sorel : "nous prévoyons la mise à l’eau mi-mai"
« Avec le météorologue Christian Dumard, nous nous sommes focalisés sur l’hémisphère Sud que je ne connais pas, les schémas des océans Indien et Pacifique, les portes des glaces… Si tout va pour le mieux, nous prévoyons la mise à l’eau de notre monocoque mi-mai puis, en demandant des dérogations au Cross, on aura certainement le droit d’effectuer quelques courtes navigations techniques. Quand l’interdiction de naviguer longuement en course et en entraînement sera levée, nous enchaînerons les heures en mer. »Source : TB Press