Après une année 2019 marquée par de belles performances et quelques résultats en demi-teinte, Pierre Quiroga (Skipper Macif 2019) évoque sa deuxième année dans le programme Skipper Macif. "C’est ma deuxième saison comme Skipper Macif, je dois absolument performer ! Je dois aller chercher un beau résultat."
Crédit : A Courcoux
Une année tournée vers la performance
Pierre Quiroga, originaire du sud, entame avec confiance le chapitre 2020. « C’est ma deuxième saison comme Skipper Macif, je dois absolument performer ! Je dois aller chercher un beau résultat. J’ai beaucoup appris de l’année dernière : je vais me recentrer, prendre les choses les unes après les autres et tout ira bien. »Il se fixe alors un objectif de régularité, notamment sur les deux courses phares de la saison : La Transat AG2R LA MONDIALE et la Solitaire du Figaro. « Je sais à peu près à quoi m’attendre sur la Solitaire du Figaro pour en avoir déjà vécu quatre. La Transat AG2R LA MONDIALE sera à l’inverse : une grande première moi. J’ai vraiment hâte de vivre l’expérience d’une transat ! »
Pierre Quiroga : "On accroche les meilleurs"
Une année 2020 qui démarre également par une nouveauté significative : un changement de bateau. À l’issue des deux semaines de tests avec Erwan Le Draoulec, les deux skippers Macif se sont accordés sur leur choix de monocoque pour la saison à venir.Pierre Quiroga a donc opté pour naviguer à bord du Figaro Skipper Macif citrus : « Les Figaro Bénéteau 3 sont, certes, des supports monotypes mais il existe néanmoins de légères différences ! La barre du Figaro Macif Skipper citrus est plus « douce », je ressens plus les choses sur ce bateau. Moi qui suis historiquement un barreur, cette particularité est très importante. »
Sur l’eau, il enchaîne quotidiennement les stages d’entraînements collectifs avec le Pôle de Course au Large de Port-la-Forêt : « Je commence à être à l’aise, ça se voit sur ces premiers entraînements, nous sommes rapidement aux avant-postes. Maintenant il me manque peut-être encore un petit déclic en vitesse au près. On accroche les meilleurs, mais on ne les dépasse pas encore sur les bords de VMG au près. C’est ce qu’on travaille en ce moment. »
Source : Macif
