De Nantes à Saint-Nazaire, sur l’Atlantique et jusqu’à New York, le rideau est tombé sur THE BRIDGE après trois semaines de festivités avec la remise des prix de la Transat du Centenaire. Damien Grimont, créateur et organisateur de l’événement, revient sur cette aventure hors du commun.
Crédit : Th Martinez
Son propre « bridge »
THE BRIDGE, c’est également un événement composite, porté par la volonté de jeter des passerelles entre les univers et qui répond à la logique qu’ « un plus un égale trois ». Nous avons réuni le basket, la voile, la musique et l’Histoire avec le Centenaire du débarquement américain de 1917, autour du Queen Mary 2.
Ce paquebot, qui incarne le travail humain, reste l’élément fort et central de l’événement, qui a puisé sa force dans la vitalité d’un territoire. Un paquebot comme celui-là, c’est quatre millions d’heures et plus de 100 000 personnes qui ont interagi, de près ou de loin, pendant sa construction.
Durant les trois semaines d’événement, chacun des acteurs et des participants a construit son propre « bridge » ; et nous avons eu tout du long, à Nantes, Saint-Nazaire et jusqu’à New York, beaucoup d’émotions partagées qui dépassent toutes nos espérances les plus folles.
Fédérer les publics
Ce qui m’intéresse le plus dans le cadre de la transat entre trimarans Ultimes, dont les arrivées clôturent THE BRIDGE, c’est d’accompagner le virage que la voile est en train de prendre. François Gabart, vainqueur de cette transat entre trimaran Ultimes, me disait, que la voile connaît depuis cinq-six ans des évolutions majeures d’une ampleur sans égale et sans précédent.
Cela fait quinze ans que j’organise avec Profil Grand Large des événements autour de courses au large. Et THE BRIDGE est animé du même état d’esprit de donner du sens en fédérant les publics et en abolissant les frontières.»
par la rédaction
Source : Frette Communication