Prochain objectif pour le Team SFS en Diam 24 : le Tour de France à la voile. Sofian Bouvet, le skipper, et son équipage Achille Nebout, Gaultier Germain et Noé Delpech s’entraînent depuis fin 2016 à la Grande Motte. Avant la grande boucle, ces jeunes navigateurs ont hate de renouer avec la compétition. Ce sera avec le Grand Prix de la Grande Motte du 24 au 26 mars. Avant, en avril prochain, de participer au Grand Prix de Pornichet et au Spi Ouest France.
© Didier Hillaire / SFS
« A ce point de notre préparation, nous avons tout lieu d’être satisfaits » explique Sofian Bouvet. « Nous enregistrons une progression constante de nos performances et de notre maitrise du support, grâce notamment au soutien de Franck Citeau et de l’expérience accumulée l’an passé par Achille et Gaultier à bord d’un autre Diam 24 (Team Lorina ndlr). Nous avons accumulé les navigations sur parcours construits depuis maintenant plusieurs semaines et multiplié les répétitions de manœuvres de base afin de bien identifier et réaliser nos rôles respectifs à bord. »
« Le Grand Prix de la Grande Motte réunira les équipages méditerranéens que nous connaissons bien. Ce n’est véritablement qu’avec notre déplacement en Bretagne que nous serons en mesure de livrer un premier état des lieux. »
Les marins racontent
Gaultier Germain :
« Nous sommes d’emblée entrés dans le bain du Diam 24. On a tout de suite trouvé les bons automatismes. Nous essayons de mettre tous les atouts de notre côté et de ne rien laisser au hasard. Nous avons l’impression d’avoir déjà une bonne vitesse et de jouer aux avant postes. A nous de confirmer lors des rendez-vous d’avant Tour. »
Achille Nebout :
« Nous avons bien travaillé cet hiver, très intensément. En me basant sur mon expérience l’an passé à bord du Diam 24 Lorina, il me semble que nous avons déjà une bonne carburation. »
Noé Delpech :
« Le Diam 24 est un bateau très technique que je découvre avec Sofian. Nous avons opté pour un équipage réduit, qui simplifie le fonctionnement et accélère la complémentarité. Il nous tarde de monter en Bretagne nous confronter avec les cadors de la classe. »
par la rédaction
Source : H Pinot