Le compte à rebours est lancé pour les concurrents de la Transat Jacques Vabre. Une dernière ligne droite sans Charlie Dalin pour le duo Queguiner, le temps de défendre son titre de champion de France de Course au Large en Solitaire sur la Generali Solo avec son Figaro. En attendant, c’est avec son coach, Daniel Souben, que Yann Eliès poursuivra sa préparation et testera notamment la nouvelle quille de Quéguiner- Leucémie Espoir qui sera mis en place prochainement.
Credit : A.Courcoux
Préparation physique pour Yann Eliès
« Je dois me concentrer sur des exercices de cardio, donc je fais du fractionné. Je m’entraîne essentiellement en VTT et en rameur, mais je m’accorde aussi quelques sessions de surf, car mine de rien, c’est très intense ! » confiait le skipper, en évoquant cette discipline qu’il affectionne tout particulièrement.
Dernière ligne droite sans Charlie Dalin
A défaut d’avoir des plans porteurs, c’est avec une nouvelle quille que Yann Eliès et Charlie Dalin quitteront le Havre pour Itajaï le mois prochain. Un nouvel appendice sera mis en place dans les prochains jours.
Privé de son co-skipper, qui défendra son titre de Champion de France de Course au large en Solitaire la semaine prochaine, c’est donc avec son coach, Daniel Souben, que le skipper de Queguiner testera ce nouvel élément. «J’espère que Charlie conservera son titre et reviendra regonflé à bloc. D’ici là, je vais travailler avec Daniel, qui connait bien le bateau, et sera capable de faire un bon relais. Nous allons avoir pas mal de boulot, sur la nouvelle quille, et sur les plages d’utilisation des ballasts et des voiles qui restent à affiner,» expliquait Yann Eliès.
Conférence de presse de la Transat Jacques Vabre mardi
Un rendez-vous symbolique, à Paris, dans la dernière ligne droite avant le départ. «Jusqu’ici, nous étions dans notre bulle de préparation, avec les Lorientais et les Forestois, mais là, il y aura les Trinitains, les Sudistes, les Anglais… La flotte sera réunie au grand complet. Les dés seront jetés, et il n’y a aura plus qu’à peaufiner les détails.» se réjouissait Yann Eliès à propos de cette grande messe parisienne.
Par la rédaction
Source : Rivacom
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