Le 13 novembre est une date clé pour la planche à voile mondiale puisque la barre mythique des 50 nœuds est enfin tombée, en Namibie. C’est d’abord Anders Bringdal qui a réalisé un run à 50,46 nœuds mais le Français Antoine Albeau a vite remis les choses dans l’ordre avec une vitesse de 50,62 nœuds tenue sur 500 mètres.
« Je pense que les 52 nœuds sont faisables mais les chutes vont faire très mal » a confié Albeau au site spécialisé Windsurfjournal. Antoine a en effet expérimenté « la plus grosse boîte de toute [son] existence » et ce grand gaillard reconnaît qu’il a été sonné et qu’il a même cru être rentré en contact avec le sol alors qu’il rebondissait sur une eau « dure comme du béton ». Comme un record tombe rarement seul, la Britannique Zara Davis a amélioré le sien chez les femmes (44,92 nds) alors qu’Albeau s’est associé à son adversaire Cédric Borde pour devenir les hommes les plus rapides de la planète en… tandem (une planche, deux voiles) avec 38,12 nœuds.
Interview d’Antoine Albeau :
« On y est arrivés ! On appréhende un peu moins le canal et on peut aller encore plus vite. Ça faisait plusieurs jours que l’on était à près de 50 nœuds et on se demandait si on passerait la barre ! On n’est que deux au monde à avoir passé la barre, c’est énorme ! »
Source : FFV
Credit : E.Bellande
« Je pense que les 52 nœuds sont faisables mais les chutes vont faire très mal » a confié Albeau au site spécialisé Windsurfjournal. Antoine a en effet expérimenté « la plus grosse boîte de toute [son] existence » et ce grand gaillard reconnaît qu’il a été sonné et qu’il a même cru être rentré en contact avec le sol alors qu’il rebondissait sur une eau « dure comme du béton ». Comme un record tombe rarement seul, la Britannique Zara Davis a amélioré le sien chez les femmes (44,92 nds) alors qu’Albeau s’est associé à son adversaire Cédric Borde pour devenir les hommes les plus rapides de la planète en… tandem (une planche, deux voiles) avec 38,12 nœuds.
Interview d’Antoine Albeau :
« On y est arrivés ! On appréhende un peu moins le canal et on peut aller encore plus vite. Ça faisait plusieurs jours que l’on était à près de 50 nœuds et on se demandait si on passerait la barre ! On n’est que deux au monde à avoir passé la barre, c’est énorme ! »
Source : FFV