Après quelques d’entraînements en AC45 pour prendre ses marques avec sa nouvelle équipe, Artemis Racing, Loïck Peyron a aujourd’hui participé à la première sortie de l’AC72 du défi suédois. C’est le troisième catamaran AC72 au monde mis à l’eau en vue de l’America’s Cup en 2013.
A San Francisco, le navigateur baulois explique à son retour à terre :
« Une première journée de navigation est toujours importante car il y a une certaine part de stress à gérer. Notamment avec les antécédents vécus par l‘équipe – aile endommagée à Valencia en Espagne, première tentative de mise à l’eau avortée – et ceux des autres concurrents, comme le récent chavirage d’Oracle Team USA.
« On sait que ces bateaux sont dotés de technologies extrêmement complexes, qu’ils sont très puissants et que dès qu’on repousse leurs limites, on n’est jamais à l’abri de nouveaux ennuis.
« Cette sortie a redonné véritable un élan positif à l’équipe qui a été rassurée de voir son AC72 tirer enfin ses premiers bords. Nous avons donc démarré, en douceur et sans précipitation, dans des conditions parfaites : 7 noeuds de vent et un grand ciel bleu. A bord de l’AC72, on a vraiment la sensation de marcher comme sur des œufs.
« Je suis ravi d’avoir intégré cette équipe, très mixte et sûrement la plus européenne, dans laquelle je retrouve de nombreux contacts de la Coupe ainsi que de nombreux Français » conclut-il.
Source : America's Cup
Credit :S.van der Borch / Artemis Racing
A San Francisco, le navigateur baulois explique à son retour à terre :
« Une première journée de navigation est toujours importante car il y a une certaine part de stress à gérer. Notamment avec les antécédents vécus par l‘équipe – aile endommagée à Valencia en Espagne, première tentative de mise à l’eau avortée – et ceux des autres concurrents, comme le récent chavirage d’Oracle Team USA.
« On sait que ces bateaux sont dotés de technologies extrêmement complexes, qu’ils sont très puissants et que dès qu’on repousse leurs limites, on n’est jamais à l’abri de nouveaux ennuis.
« Cette sortie a redonné véritable un élan positif à l’équipe qui a été rassurée de voir son AC72 tirer enfin ses premiers bords. Nous avons donc démarré, en douceur et sans précipitation, dans des conditions parfaites : 7 noeuds de vent et un grand ciel bleu. A bord de l’AC72, on a vraiment la sensation de marcher comme sur des œufs.
« Je suis ravi d’avoir intégré cette équipe, très mixte et sûrement la plus européenne, dans laquelle je retrouve de nombreux contacts de la Coupe ainsi que de nombreux Français » conclut-il.
Source : America's Cup