Une petite cinquantaine d’élèves de l’école angevine l’Isoret ont pu découvrir Bureau Vallée hier matin aux Sables d’Olonne. Après la rencontre avec Louis Burton dans leurs classes, c’était à son tour de leur faire découvrir son univers. Quelques enfants de cette école élémentaire d’un quartier populaire d’Angers voyaient la mer pour la première fois…
Ils avaient les yeux écarquillés les petits Angevins ce matin sur le village départ du Vendée Globe. Il faut dire que l’événement n’était pas banal pour ces élèves de 7 à 9 ans venus rendre visite à Louis Burton, ‘leur’ skipper : 20 bateaux de course, alignés sagement au ponton de Port Olonna et la foule qui se presse pour les voir de plus près dans l’espoir d’échanger quelques mots avec ces marins qui vont partir, seuls, autour du monde.
Les 49 enfants ont eu, quant à eux, le privilège de monter à bord de Bureau Vallée et de poser toutes les questions qu’ils voulaient à Louis Burton. Si plusieurs d’entre eux s’attachaient à la cellule de vie de Bureau Vallée s’étonnant qu’il n’y ait ni douche, ni frigo, d’autres scrutaient l’horizon, fascinés par cette mer qu’ils voyaient pour la première fois.
«C’est magique» lâchait Killian élève de CM2, «je n’avais jamais vu la mer ». Plus pragmatique, la petite Léa (CM2), mesurait sa chance : «C’est super d’avoir la possibilité de monter sur un bateau de course». Parmi les plus jeunes (CP), Evaële résumait le vœu partagé par tous : «J’espère que Louis va gagner le Vendée Globe».
Pour Dominique Bruneau, le maître de la classe de CM2, c’était un beau moment partagé avec ses élèves et le début d’une belle aventure qu’ils vont vivre ensemble. «On souhaite beaucoup de courage à Louis, nous sommes très fiers d'être montés sur son bateau. C'est une richesse pour les enfants. On a hâte de voir le bateau en pleine mer».
Louis Burton a joué son rôle de maître de cérémonie à la perfection, répondant aux questions, même les plus inattendues, avec sérieux. «C’est super d’avoir accueilli les enfants à bord. Après notre rencontre à leur école, c’était la plus belle des façons de pouvoir les mettre en situation pratique, de leur faire comprendre comment les choses vont se passer pour moi. Ils m’ont remis plein de cadeaux à ouvrir pendant la course, ça fera des petits moments de réconforts supplémentaires…»
Credit : Ch.Bimes/LFC
Ils avaient les yeux écarquillés les petits Angevins ce matin sur le village départ du Vendée Globe. Il faut dire que l’événement n’était pas banal pour ces élèves de 7 à 9 ans venus rendre visite à Louis Burton, ‘leur’ skipper : 20 bateaux de course, alignés sagement au ponton de Port Olonna et la foule qui se presse pour les voir de plus près dans l’espoir d’échanger quelques mots avec ces marins qui vont partir, seuls, autour du monde.
Les 49 enfants ont eu, quant à eux, le privilège de monter à bord de Bureau Vallée et de poser toutes les questions qu’ils voulaient à Louis Burton. Si plusieurs d’entre eux s’attachaient à la cellule de vie de Bureau Vallée s’étonnant qu’il n’y ait ni douche, ni frigo, d’autres scrutaient l’horizon, fascinés par cette mer qu’ils voyaient pour la première fois.
«C’est magique» lâchait Killian élève de CM2, «je n’avais jamais vu la mer ». Plus pragmatique, la petite Léa (CM2), mesurait sa chance : «C’est super d’avoir la possibilité de monter sur un bateau de course». Parmi les plus jeunes (CP), Evaële résumait le vœu partagé par tous : «J’espère que Louis va gagner le Vendée Globe».
Pour Dominique Bruneau, le maître de la classe de CM2, c’était un beau moment partagé avec ses élèves et le début d’une belle aventure qu’ils vont vivre ensemble. «On souhaite beaucoup de courage à Louis, nous sommes très fiers d'être montés sur son bateau. C'est une richesse pour les enfants. On a hâte de voir le bateau en pleine mer».
Louis Burton a joué son rôle de maître de cérémonie à la perfection, répondant aux questions, même les plus inattendues, avec sérieux. «C’est super d’avoir accueilli les enfants à bord. Après notre rencontre à leur école, c’était la plus belle des façons de pouvoir les mettre en situation pratique, de leur faire comprendre comment les choses vont se passer pour moi. Ils m’ont remis plein de cadeaux à ouvrir pendant la course, ça fera des petits moments de réconforts supplémentaires…»
Source : Bureau Vallée