La dernière étape de large part aujourd’hui de Lorient pour Galway. Le navigateur Jean-Luc Nélias n’est pas à bord de Groupama – Charles Caudrelier le remplace et Laurent Pagès monte à bord comme tacticien. Les raisons de ce changement.
« Cette dernière étape est plus une longue inshore qu’une courte offshore. » Franck Cammas résume en régatier les 550 milles entre Bretagne et Irlande. Et c’est en régatier que le skipper de Groupama sailing team a sélectionné son équipage pour cette dernière manche hauturière.
« Le routage est très simple cette fois-ci. Jean-Luc pouvait nous faire bénéficier de toutes ses compétences avant le départ en préparant bien la navigation. Mais à bord, on avait plutôt besoin d’un régleur et d’un barreur pour être très rapides. À ce point de la course, on doit se concentrer sur ça. »
La première partie de l’étape 9 s’annonce effectivement peu compliquée en termes de trajectoire. Les six Volvo Open 70 vont descendre jusqu’au sud de Belle-Ile puis remonter au large de la Bretagne.
Beaucoup de changements de voile dans un front chaud et du vent assez fort la nuit prochaine, puis une stratégie qui se complique à l’approche de la côte ouest irlandaise. Départ à 13h02 HF. Durée prévue : 36 à 40 heures.
Nélias n’est-il pas un peu triste de laisser ses compagnons finir l’aventure ? « C’est sûr, » reconnaît Cammas, « mais c’est un changement normal dans une équipe. Il a travaillé comme d’habitude avec Charles Caudrelier, notre navigateur inshore. L’esprit est resté le même.
« C’est comme la finale de la Coupe du Monde de foot : il faut choisir le meilleur gars pour l’étape en question. »
Et Caudrelier sait à quoi s’en tenir. Il embarque donc officiellement comme navigateur et sera aidé par Pagès à la tactique. Mais ce matin, il rigole et assure que « c’est Franck qui sera le navigateur. Moi, je vais l’aider ! »
Source : Volvo Ocean Race
Crédit : E Allaire
« Cette dernière étape est plus une longue inshore qu’une courte offshore. » Franck Cammas résume en régatier les 550 milles entre Bretagne et Irlande. Et c’est en régatier que le skipper de Groupama sailing team a sélectionné son équipage pour cette dernière manche hauturière.
« Le routage est très simple cette fois-ci. Jean-Luc pouvait nous faire bénéficier de toutes ses compétences avant le départ en préparant bien la navigation. Mais à bord, on avait plutôt besoin d’un régleur et d’un barreur pour être très rapides. À ce point de la course, on doit se concentrer sur ça. »
La première partie de l’étape 9 s’annonce effectivement peu compliquée en termes de trajectoire. Les six Volvo Open 70 vont descendre jusqu’au sud de Belle-Ile puis remonter au large de la Bretagne.
Beaucoup de changements de voile dans un front chaud et du vent assez fort la nuit prochaine, puis une stratégie qui se complique à l’approche de la côte ouest irlandaise. Départ à 13h02 HF. Durée prévue : 36 à 40 heures.
Nélias n’est-il pas un peu triste de laisser ses compagnons finir l’aventure ? « C’est sûr, » reconnaît Cammas, « mais c’est un changement normal dans une équipe. Il a travaillé comme d’habitude avec Charles Caudrelier, notre navigateur inshore. L’esprit est resté le même.
« C’est comme la finale de la Coupe du Monde de foot : il faut choisir le meilleur gars pour l’étape en question. »
Et Caudrelier sait à quoi s’en tenir. Il embarque donc officiellement comme navigateur et sera aidé par Pagès à la tactique. Mais ce matin, il rigole et assure que « c’est Franck qui sera le navigateur. Moi, je vais l’aider ! »
Source : Volvo Ocean Race