Comme les 73 précédents, le Bol d’Or Mirabaud 2012 se déroulera évidemment d’abord sur l’eau – plus de cinq cents bateaux sont à nouveau attendus au départ le 16 juin 2012 –, mais la plus importante régate en eaux fermées du continent se déclinera également, et plus que jamais, sur tous les écrans, que ce soit celui de votre ordinateur ou celui de votre téléphone portable.
Transformé en plateforme interactive et multimédia, le site du Bol d’Or Mirabaud sera ainsi en mesure de gérer, minute par minute et sur une nouvelle cartographie, toutes les informations qui lui parviendront des bateaux équipés de portables adaptés ou de balises. Le site bruissera également des commentaires et autres photos postés sur les réseaux sociaux. Quant au site Virtual Regatta, il sera à nouveau de la fête et donnera aux milliers d’amateurs du monde entier la possibilité de se mesurer virtuellement sur le parcours mythique Genève-Bouveret-Genève.
Sur l’eau, il n’y aura que du beau monde, comme d’habitude. Présents depuis des années sur le plan d’eau, les multicoques D35 et M2 mèneront la meute. Les 28 pieds parviendront-ils enfin à détrôner sur cette course les 35 pieds ? La fenêtre est étroite, mais le défi toujours de mise, d’autant plus que la flotte des M2 – plus de 20 bateaux – sera au moins double de celle des D35 (9 ou 10 bateaux engagés). Les D35 seront privés cette année de quelques-uns des marins français d’exception – les Desjoyeaux, Bidégorry, Cammas ou Peyron – qui ont fait les belles heures de la classe; nombre d’entre eux naviguent actuellement sur d’autres supports et ne pourront faire escale à Genève. Mais la flotte aura encore très belle allure avec des équipages,certes plus lémaniques, mais de très haut niveau.
L’INCONNUE π28
L’inconnue de cette année se nomme π28 ! Mis à l’eau en octobre 2011 pour les premiers essais,ce monocoque à foils en ligne, à échelles carénées et à voile épaisse développé par Hugues deTurckheim et Sébastien Schmidt, pourrait mettre tout le monde d’accord. Telle est en tout cas l’ambition de ses concepteurs. Quant au Mirabaud LX de Thomas Jundt et son aile rigide, il poursuit sa quête: n’a-t-il pas remporté en 2011 la Genève-Rolle-Genève en catégorie monocoque ! Aux côtés des multicoques et des prototypes, plusieurs centaines de monocoques traceront leur route, à la recherche d’une victoire en temps réel ou compensé, ou d’un succès dans leur série monotype, comme les Surprise, les Grand Surprise ou les Toucan. Au niveau de la victoire en temps réel, les Psaros 40 seront à nouveau là avec, cerise sur le gâteau, la possibilité pour Oyster Funds (vainqueur en 2008 et 2010) de remporter définitivement le Challenge Bol de Vermeil (trois victoires en cinq ans). En Surprise, après la victoire du Mirabaud 1 en 2011, ce ne seront pas moins de six bateaux de la SNG aux couleurs Mirabaud qui s’aligneront dans cette classe, au milieu d’une flotte impressionnante de plus de cent unités. Rappelons à cet égard que les classes monotypes représentent plus de la moitié des bateaux engagés.
UN TROPHÉE INTER-ENTREPRISES
Afin d’aiguiser plus encore les ambitions, la direction du Bol d’Or Mirabaud innove cette année avec la création d’un Trophée inter-entreprises. «La règle est simple, explique Michel Glaus, le président du comité d’organisation du Bol d’Or Mirabaud: tous les bateaux souhaitant participer à ce trophée doivent être menés par des équipiers appartenant à la même entreprise.» Autre trophée qui connaît un franc succès depuis cinq ans, celui des écoles de voile. Là aussi, les règles sont simples: un Surprise, un moniteur et de jeunes équipiers.
LE BOL D’OR MULTIMÉDIA
Le contenu multimédia du site du Bol d’Or Mirabaud fait peau neuve. Désormais, la page d’accueil offrira une plateforme complète où seront immédiatement accessibles textes, photos et vidéos, tous actualisés en temps réel.
Credit :Mainguené
Transformé en plateforme interactive et multimédia, le site du Bol d’Or Mirabaud sera ainsi en mesure de gérer, minute par minute et sur une nouvelle cartographie, toutes les informations qui lui parviendront des bateaux équipés de portables adaptés ou de balises. Le site bruissera également des commentaires et autres photos postés sur les réseaux sociaux. Quant au site Virtual Regatta, il sera à nouveau de la fête et donnera aux milliers d’amateurs du monde entier la possibilité de se mesurer virtuellement sur le parcours mythique Genève-Bouveret-Genève.
Sur l’eau, il n’y aura que du beau monde, comme d’habitude. Présents depuis des années sur le plan d’eau, les multicoques D35 et M2 mèneront la meute. Les 28 pieds parviendront-ils enfin à détrôner sur cette course les 35 pieds ? La fenêtre est étroite, mais le défi toujours de mise, d’autant plus que la flotte des M2 – plus de 20 bateaux – sera au moins double de celle des D35 (9 ou 10 bateaux engagés). Les D35 seront privés cette année de quelques-uns des marins français d’exception – les Desjoyeaux, Bidégorry, Cammas ou Peyron – qui ont fait les belles heures de la classe; nombre d’entre eux naviguent actuellement sur d’autres supports et ne pourront faire escale à Genève. Mais la flotte aura encore très belle allure avec des équipages,certes plus lémaniques, mais de très haut niveau.
L’INCONNUE π28
L’inconnue de cette année se nomme π28 ! Mis à l’eau en octobre 2011 pour les premiers essais,ce monocoque à foils en ligne, à échelles carénées et à voile épaisse développé par Hugues deTurckheim et Sébastien Schmidt, pourrait mettre tout le monde d’accord. Telle est en tout cas l’ambition de ses concepteurs. Quant au Mirabaud LX de Thomas Jundt et son aile rigide, il poursuit sa quête: n’a-t-il pas remporté en 2011 la Genève-Rolle-Genève en catégorie monocoque ! Aux côtés des multicoques et des prototypes, plusieurs centaines de monocoques traceront leur route, à la recherche d’une victoire en temps réel ou compensé, ou d’un succès dans leur série monotype, comme les Surprise, les Grand Surprise ou les Toucan. Au niveau de la victoire en temps réel, les Psaros 40 seront à nouveau là avec, cerise sur le gâteau, la possibilité pour Oyster Funds (vainqueur en 2008 et 2010) de remporter définitivement le Challenge Bol de Vermeil (trois victoires en cinq ans). En Surprise, après la victoire du Mirabaud 1 en 2011, ce ne seront pas moins de six bateaux de la SNG aux couleurs Mirabaud qui s’aligneront dans cette classe, au milieu d’une flotte impressionnante de plus de cent unités. Rappelons à cet égard que les classes monotypes représentent plus de la moitié des bateaux engagés.
UN TROPHÉE INTER-ENTREPRISES
Afin d’aiguiser plus encore les ambitions, la direction du Bol d’Or Mirabaud innove cette année avec la création d’un Trophée inter-entreprises. «La règle est simple, explique Michel Glaus, le président du comité d’organisation du Bol d’Or Mirabaud: tous les bateaux souhaitant participer à ce trophée doivent être menés par des équipiers appartenant à la même entreprise.» Autre trophée qui connaît un franc succès depuis cinq ans, celui des écoles de voile. Là aussi, les règles sont simples: un Surprise, un moniteur et de jeunes équipiers.
LE BOL D’OR MULTIMÉDIA
Le contenu multimédia du site du Bol d’Or Mirabaud fait peau neuve. Désormais, la page d’accueil offrira une plateforme complète où seront immédiatement accessibles textes, photos et vidéos, tous actualisés en temps réel.