Marc Guillemot est revenu lundi 28 mai d’une navigation en solitaire positive et riche en enseignements, dans la perspective du Vendée Globe. Le skipper de Safran et son équipe attendent désormais une fenêtre météo favorable pour s’attaquer au record du Tour des îles britanniques.
« Safran est à la fois fiable et performant – de bon augure pour le Vendée Globe ! », a déclaré son skipper à son arrivée lundi matin à Trinité-sur-Mer. Marc Guillemot dresse un bilan positif de sa navigation de 1 600 milles en solitaire, test grandeur nature à moins de six mois du Vendée Globe. Après avoir fait route vers le célèbre rocher du Fastnet, le skipper a viré un waypoint situé à environ 300 milles à l’est des Açores, avant de revenir vers la Bretagne.
Cinq jours de mer dans des conditions globalement toniques, aux abords d’une jolie dépression. « J’ai été confronté à des vents souvent forts ; sans compter la pluie, le brouillard et quelques orages énormes. Il a fallu être très réactif sur les changements de voiles et les manœuvres. Le speedomètre s’est parfois affolé, avec notamment une pointe à 30,2 nœuds – une vitesse remarquable pour un monocoque de 60 pieds. Safran procure vraiment d’excellentes sensations ! », raconte Marc, enthousiaste.
Malgré l’absence de concurrents auxquels se comparer, Marc Guillemot a pu constater tout le potentiel de sa machine. « Quand on est le seul bateau, on va toujours plus vite que tout le monde, plaisante-t-il. Sérieusement, je suis très satisfait de mon monocoque, d’autant que j’ai pu valider toutes les améliorations effectuées en vue du Vendée Globe. C’était primordial car tout ce qui fonctionne en baie de Quiberon peut poser problème lors d’une navigation de plusieurs jours au large. Cela n’a pas été le cas. Les choses vont donc dans le bon sens et j’aborde la suite avec sérénité ».
La suite, justement, c’est le record du Tour des îles britanniques, pour lequel Marc Guillemot et son équipe se mettent en stand-by, dans l’attente d’une fenêtre météo favorable dans les semaines à venir. « Mais rien ne se dessine jusqu’au 5-6 juin, prévient Marc. Nous espérons vraiment pouvoir tenter à nouveau ce record en équipage car il représente un défi sportif intéressant. Il permet aussi d’exploiter au maximum les performances du bateau, ce qui est toujours bon à prendre dans la préparation du Vendée Globe ».
Source : Safran
Credit : SST
« Safran est à la fois fiable et performant – de bon augure pour le Vendée Globe ! », a déclaré son skipper à son arrivée lundi matin à Trinité-sur-Mer. Marc Guillemot dresse un bilan positif de sa navigation de 1 600 milles en solitaire, test grandeur nature à moins de six mois du Vendée Globe. Après avoir fait route vers le célèbre rocher du Fastnet, le skipper a viré un waypoint situé à environ 300 milles à l’est des Açores, avant de revenir vers la Bretagne.
Cinq jours de mer dans des conditions globalement toniques, aux abords d’une jolie dépression. « J’ai été confronté à des vents souvent forts ; sans compter la pluie, le brouillard et quelques orages énormes. Il a fallu être très réactif sur les changements de voiles et les manœuvres. Le speedomètre s’est parfois affolé, avec notamment une pointe à 30,2 nœuds – une vitesse remarquable pour un monocoque de 60 pieds. Safran procure vraiment d’excellentes sensations ! », raconte Marc, enthousiaste.
Malgré l’absence de concurrents auxquels se comparer, Marc Guillemot a pu constater tout le potentiel de sa machine. « Quand on est le seul bateau, on va toujours plus vite que tout le monde, plaisante-t-il. Sérieusement, je suis très satisfait de mon monocoque, d’autant que j’ai pu valider toutes les améliorations effectuées en vue du Vendée Globe. C’était primordial car tout ce qui fonctionne en baie de Quiberon peut poser problème lors d’une navigation de plusieurs jours au large. Cela n’a pas été le cas. Les choses vont donc dans le bon sens et j’aborde la suite avec sérénité ».
La suite, justement, c’est le record du Tour des îles britanniques, pour lequel Marc Guillemot et son équipe se mettent en stand-by, dans l’attente d’une fenêtre météo favorable dans les semaines à venir. « Mais rien ne se dessine jusqu’au 5-6 juin, prévient Marc. Nous espérons vraiment pouvoir tenter à nouveau ce record en équipage car il représente un défi sportif intéressant. Il permet aussi d’exploiter au maximum les performances du bateau, ce qui est toujours bon à prendre dans la préparation du Vendée Globe ».
Source : Safran