En attendant la fenêtre météo favorable pour le record du Tour des îles britanniques, Marc Guillemot va effectuer une navigation en solitaire, direction le Fastnet puis le cap Finisterre. Un bon exercice pour le skipper de Safran, à moins de six mois du Vendée Globe.
Marc Guillemot enchaîne les entraînements ! A peine l’ArMen Race remportée, il reprend aujourd’hui, mercredi 23 mai, la barre de Safran pour une boucle de 1 300 milles en solitaire cette fois. Destination : le mythique rocher irlandais du Fastnet, avant une descente vers le cap Finisterre puis un retour à la Trinité-sur-Mer, lundi ou mardi prochain. C’est l’absence de fenêtre météo favorable avant dix jours pour le record du Tour des îles britanniques qui a conduit Marc Guillemot et son équipe à prévoir cette belle « balade ».
Au menu, cinq à six jours de mer dans des conditions variées. « Il faudra d’abord gérer une petite dorsale anticyclonique, et donc des vents relativement faibles, pour quitter la Bretagne. Puis une dépression située au large va me permettre de monter rapidement vers le Fastnet puis de redescendre jusqu’au cap Finisterre. Je passerai ensuite au centre de cette dépression et les conditions seront alors musclées », détaille le skipper de Safran qui s’attend à beaucoup manœuvrer, à progresser à toutes les allures et à sortir toute la garde-robe de son monocoque.
« En configuration Vendée Globe »
« L’objectif est de continuer à valider, en configuration Vendée Globe, toutes les améliorations apportées sur le bateau suite au chantier d’hiver et à la mise en place du nouveau mât. Il s’agit aussi d’acquérir des automatismes en solitaire pour naviguer plus sereinement et de manière performante ». Pas facile, toutefois, de lâcher les chevaux sans la pression d’autres concurrents. « Mais c’est un exercice que je m’impose et je vais m’y tenir ! », promet Marc.
Tout au long de ces 1 300 milles, il gardera en tête le record du Tour des îles britanniques et surveillera de près l’ouverture d’une éventuelle fenêtre météo au début du mois de juin. Pas question pour le skipper de Safran de renoncer à ce défi : « Car il est très important d’alterner navigations en solo et en équipage – très complémentaires – pour aborder le Vendée Globe dans les meilleures dispositions », assure-t-il.
Source : Safran
Credit : SST
Marc Guillemot enchaîne les entraînements ! A peine l’ArMen Race remportée, il reprend aujourd’hui, mercredi 23 mai, la barre de Safran pour une boucle de 1 300 milles en solitaire cette fois. Destination : le mythique rocher irlandais du Fastnet, avant une descente vers le cap Finisterre puis un retour à la Trinité-sur-Mer, lundi ou mardi prochain. C’est l’absence de fenêtre météo favorable avant dix jours pour le record du Tour des îles britanniques qui a conduit Marc Guillemot et son équipe à prévoir cette belle « balade ».
Au menu, cinq à six jours de mer dans des conditions variées. « Il faudra d’abord gérer une petite dorsale anticyclonique, et donc des vents relativement faibles, pour quitter la Bretagne. Puis une dépression située au large va me permettre de monter rapidement vers le Fastnet puis de redescendre jusqu’au cap Finisterre. Je passerai ensuite au centre de cette dépression et les conditions seront alors musclées », détaille le skipper de Safran qui s’attend à beaucoup manœuvrer, à progresser à toutes les allures et à sortir toute la garde-robe de son monocoque.
« En configuration Vendée Globe »
« L’objectif est de continuer à valider, en configuration Vendée Globe, toutes les améliorations apportées sur le bateau suite au chantier d’hiver et à la mise en place du nouveau mât. Il s’agit aussi d’acquérir des automatismes en solitaire pour naviguer plus sereinement et de manière performante ». Pas facile, toutefois, de lâcher les chevaux sans la pression d’autres concurrents. « Mais c’est un exercice que je m’impose et je vais m’y tenir ! », promet Marc.
Tout au long de ces 1 300 milles, il gardera en tête le record du Tour des îles britanniques et surveillera de près l’ouverture d’une éventuelle fenêtre météo au début du mois de juin. Pas question pour le skipper de Safran de renoncer à ce défi : « Car il est très important d’alterner navigations en solo et en équipage – très complémentaires – pour aborder le Vendée Globe dans les meilleures dispositions », assure-t-il.
Source : Safran