Les gros travaux d’adaptation du Mirabaud en vue du Vendée Globe sont désormais terminés, et Dominique Wavre a pu reprendre les entraînements intensifs au milieu du mois de mai.
«Nous sommes très satisfaits des modifications de cet hiver», raconte Dominique. «La nouvelle casquette de roof est très réussie ; elle permet de me protéger des embruns tout en offrant une bonne visibilité et en me permettant de manœuvrer. Nous avons aussi remplacé les deux barres à roue par des barres franches, qui sont mieux adaptées à la navigation en solitaire. Enfin, nous avons mis au point un système qui permet de matosser les voiles avec plus d’efficacité» (ndla : les placer au meilleur endroit en fonction de la marche du voilier).
Le Mirabaud a tiré ses premiers bords au large de La Rochelle le 10 mai. Et depuis, les entraînements se succèdent. «Nous effectuons des sessions d’entraînement de douze heures, qui correspondent à un cahier des charges très précis. Ainsi, selon les jours, nous travaillons sur l’électronique, le gréement, les ballasts ou les manœuvres. Nous suivons un cahier des charges rigoureux, qui nous permet de progresser rapidement. Nous avons bénéficié de conditions très variées, avec des vents de 0 à 25 nœuds, ce qui est idéal. Notre liste de tâches diminue petit à petit, et nous permet de nous rapprocher de nos objectifs les plus importants en vue du Vendée Globe.»
Source : Mirabaud
Credit : B.Stichelbaut
«Nous sommes très satisfaits des modifications de cet hiver», raconte Dominique. «La nouvelle casquette de roof est très réussie ; elle permet de me protéger des embruns tout en offrant une bonne visibilité et en me permettant de manœuvrer. Nous avons aussi remplacé les deux barres à roue par des barres franches, qui sont mieux adaptées à la navigation en solitaire. Enfin, nous avons mis au point un système qui permet de matosser les voiles avec plus d’efficacité» (ndla : les placer au meilleur endroit en fonction de la marche du voilier).
Le Mirabaud a tiré ses premiers bords au large de La Rochelle le 10 mai. Et depuis, les entraînements se succèdent. «Nous effectuons des sessions d’entraînement de douze heures, qui correspondent à un cahier des charges très précis. Ainsi, selon les jours, nous travaillons sur l’électronique, le gréement, les ballasts ou les manœuvres. Nous suivons un cahier des charges rigoureux, qui nous permet de progresser rapidement. Nous avons bénéficié de conditions très variées, avec des vents de 0 à 25 nœuds, ce qui est idéal. Notre liste de tâches diminue petit à petit, et nous permet de nous rapprocher de nos objectifs les plus importants en vue du Vendée Globe.»
Source : Mirabaud
