Une vraie régate au contact ! Ce mercredi 23 mai à 20h 50min et 29s, après 4 jours 3 heures 50 minutes et 29 secondes, MACIF a pris la deuxième place de la première étape en équipage de l’Europa Warm’Up entre Barcelone et Cascais (soit environ 825 milles), à 6 minutes et 12 secondes du vainqueur, Virbac-Paprec 3 et devance de quelques longueurs PRB. Une belle satisfaction pour François Gabart avant la seconde en solitaire cette fois, vers La Rochelle qui partira samedi.
Comment s’est passée cette première étape ?
François Gabart : « Principalement au près ! La première nuit a été assez difficile dans les orages, et au petit matin nous avions perdu une trentaine de milles sur Virbac-Paprec 3 et PRB qui étaient passés de l’autre côté. Nous étions quand même au contact avec Banque Populaire. Par la suite, nous avons bien navigué, puisque nous sommes revenus très proches d’eux pour les retrouver à partir de Gibraltar. Cela s’est terminé par une régate à vue jusqu’à l’arrivée. Nous avons passé toute cette journée de mercredi ensemble, finissant par doubler l’équipage de Vincent Riou dans la dernière heure. C’était très serré ! »
Cette seconde place est-elle conforme avec vos objectifs de départ ?
F.G. : « C’est super et conforme aux objectifs fixés que nous nous étions fixés : bien régater, se faire plaisir, échanger avec l’équipage et essayer de naviguer au contact des autres. Tout s’est passé à merveille ! Cette seconde place est la cerise sur le gâteau. Elle est, en cela importante pour nous qui sommes des compétiteurs. Maintenant, il reste une deuxième étape à courir et la victoire au classement général est possible. »
Le Chiffre du jour : 53
Comme le nombre de secondes ayant séparé à Cascais MACIF et PRB. François et son équipage ont réussi à souffler la deuxième place aux hommes de Vincent Riou en reprenant l’avantage à trois milles de l’arrivée.
La Phrase de François Gabart
« J’ai pas mal dormi sur la fin de la course, car je repars dans deux jours pour une étape en solitaire de plus de 2000 milles. J’arrive tout frais et en forme, déjà dans la préparation de la deuxième étape. »
La parole aux équipiers :
Manu Le Borgne : « Cette étape s’est très bien passée sur un bateau performant et rapide, avec un équipage sympathique et combatif. Je ne pouvais pas rêver mieux pour un retour en monocoque. François s’est montré conforme à l’idée que je m’étais faite de lui : charmant, talentueux, toujours de bonne humeur et à l’écoute. Je suis prêt à repartir avec lui sur MACIF quand il veut ! »
Antoine Gautier : « Nous avons eu beaucoup de près dans des conditions difficiles les 48 premières heures. Ensuite, dès l’entrée dans le détroit de Gibraltar, nous avons régaté au contact. Le bateau va toujours aussi vite, nous n’avons pas cassé grand-chose, c’est une belle satisfaction. »
Michel Desjoyeaux : « Nous avons vécu une régate acharnée, pas forcément très confortable, avec des coups à jouer tout le temps et des choses à ne pas faire, parce qu’il y avait moyen de perdre gros. Nous nous sommes bien battus en ayant réussi à bien revenir après une première nuit où nous nous sommes un peu ratés. François est bien à l’aise avec son bateau, c’était un plaisir de le voir se préparer à quelques mois du Vendée Globe. Il est en pleine forme ! »
Sébastien Gladu : « MACIF est bien au point, nous avons quand même pas mal tiré dessus au près dans des conditions un peu musclées au départ et tout a bien tenu. C’est encourageant au niveau des performances et de la fiabilité. C’était un vrai moment de plaisir de pouvoir mener le bateau à 100% en permanence, et de se côtoyer dans un contexte autre que les réunions ou les séances de bricolage ! »
Credit : AlfredFarre.com / FNOB
Comment s’est passée cette première étape ?
François Gabart : « Principalement au près ! La première nuit a été assez difficile dans les orages, et au petit matin nous avions perdu une trentaine de milles sur Virbac-Paprec 3 et PRB qui étaient passés de l’autre côté. Nous étions quand même au contact avec Banque Populaire. Par la suite, nous avons bien navigué, puisque nous sommes revenus très proches d’eux pour les retrouver à partir de Gibraltar. Cela s’est terminé par une régate à vue jusqu’à l’arrivée. Nous avons passé toute cette journée de mercredi ensemble, finissant par doubler l’équipage de Vincent Riou dans la dernière heure. C’était très serré ! »
Cette seconde place est-elle conforme avec vos objectifs de départ ?
F.G. : « C’est super et conforme aux objectifs fixés que nous nous étions fixés : bien régater, se faire plaisir, échanger avec l’équipage et essayer de naviguer au contact des autres. Tout s’est passé à merveille ! Cette seconde place est la cerise sur le gâteau. Elle est, en cela importante pour nous qui sommes des compétiteurs. Maintenant, il reste une deuxième étape à courir et la victoire au classement général est possible. »
Le Chiffre du jour : 53
Comme le nombre de secondes ayant séparé à Cascais MACIF et PRB. François et son équipage ont réussi à souffler la deuxième place aux hommes de Vincent Riou en reprenant l’avantage à trois milles de l’arrivée.
La Phrase de François Gabart
« J’ai pas mal dormi sur la fin de la course, car je repars dans deux jours pour une étape en solitaire de plus de 2000 milles. J’arrive tout frais et en forme, déjà dans la préparation de la deuxième étape. »
La parole aux équipiers :
Manu Le Borgne : « Cette étape s’est très bien passée sur un bateau performant et rapide, avec un équipage sympathique et combatif. Je ne pouvais pas rêver mieux pour un retour en monocoque. François s’est montré conforme à l’idée que je m’étais faite de lui : charmant, talentueux, toujours de bonne humeur et à l’écoute. Je suis prêt à repartir avec lui sur MACIF quand il veut ! »
Antoine Gautier : « Nous avons eu beaucoup de près dans des conditions difficiles les 48 premières heures. Ensuite, dès l’entrée dans le détroit de Gibraltar, nous avons régaté au contact. Le bateau va toujours aussi vite, nous n’avons pas cassé grand-chose, c’est une belle satisfaction. »
Michel Desjoyeaux : « Nous avons vécu une régate acharnée, pas forcément très confortable, avec des coups à jouer tout le temps et des choses à ne pas faire, parce qu’il y avait moyen de perdre gros. Nous nous sommes bien battus en ayant réussi à bien revenir après une première nuit où nous nous sommes un peu ratés. François est bien à l’aise avec son bateau, c’était un plaisir de le voir se préparer à quelques mois du Vendée Globe. Il est en pleine forme ! »
Sébastien Gladu : « MACIF est bien au point, nous avons quand même pas mal tiré dessus au près dans des conditions un peu musclées au départ et tout a bien tenu. C’est encourageant au niveau des performances et de la fiabilité. C’était un vrai moment de plaisir de pouvoir mener le bateau à 100% en permanence, et de se côtoyer dans un contexte autre que les réunions ou les séances de bricolage ! »