Justine Mettraux a bouclé son parcours de qualification hors course en moins de sept jours*, véritable performance pour un bateau de série. Elle a quitté Lorient le 24 mars au soir, et était de retour le 31 à l’aube. Partie vers le Sud avec une météo parfaite, elle a d’abord viré l’île de Rez, avant de remonter vers Ouessant et le Sud de l’Irlande, pour finalement rentrer à son point de départ.
« La météo était assez clémente à 5 jours, et la situation anticyclonique claire sur le nord de l’Angleterre. Je savais que j’aurais un courant de travers à la descente et pour remonter, et que je ne risquais pas de coup de vent.» Justine n’a rencontré aucun problème lors de cette ‘épreuve’. «J’ai juste dû monter au mât le premier jour, car j’ai laissé échapper une drisse. J’avais le matériel adéquat, mais je ne savais pas vraiment l’utiliser. Au final, je m’en suis sortie. La prochaine fois ça sera plus facile. »
La jeune navigatrice raconte avoir dormi par tranches de dix à quinze minutes au maximum pendant ces sept jours : « Il y a pas mal de trafic et beaucoup de pêcheurs sur tout le parcours. Ouessant, la Manche et le Sud de l’Irlande sont très fréquentés, il faut être vigilant à tout moment. Du coup, on ne peut pas dormir longtemps.» Fatiguée à l’arrivée elle déclare toutefois : «J’aurais pu continuer encore deux semaines comme ça. C’est juste une question de rythme.»
Ravie d’avoir mis cette étape du processus de qualification derrière elle, Justine a expérimenté beaucoup de nouvelles choses liées à la vie à bord. Elle a également parfait sa connaissance du matériel électronique, notamment la gestion des diverses alarmes. «J’ai eu de la chance avec les conditions, et ai eu du plaisir tout le long. Ça aurait certainement été différent si j’avais eu du près serré et du vent fort.»
Justine Mettraux a participé à deux jours d’entraînement juste après son retour. Elle compte maintenant prendre deux jours de repos avant de reprendre sa préparation pour la première régate de l’année. L’Open Demi Clé, une course en double de 150 milles vers Pornichet partira en effet le 14 avril. Etienne David sera son coéquipier pour l’occasion.
*Un parcours qualificatif de 1000 milles (1850 kilomètres) devait être effectué avant la course Les Sables-Les Açores.
Source : TeamWork
Credit : J.Mettraux
« La météo était assez clémente à 5 jours, et la situation anticyclonique claire sur le nord de l’Angleterre. Je savais que j’aurais un courant de travers à la descente et pour remonter, et que je ne risquais pas de coup de vent.» Justine n’a rencontré aucun problème lors de cette ‘épreuve’. «J’ai juste dû monter au mât le premier jour, car j’ai laissé échapper une drisse. J’avais le matériel adéquat, mais je ne savais pas vraiment l’utiliser. Au final, je m’en suis sortie. La prochaine fois ça sera plus facile. »
La jeune navigatrice raconte avoir dormi par tranches de dix à quinze minutes au maximum pendant ces sept jours : « Il y a pas mal de trafic et beaucoup de pêcheurs sur tout le parcours. Ouessant, la Manche et le Sud de l’Irlande sont très fréquentés, il faut être vigilant à tout moment. Du coup, on ne peut pas dormir longtemps.» Fatiguée à l’arrivée elle déclare toutefois : «J’aurais pu continuer encore deux semaines comme ça. C’est juste une question de rythme.»
Ravie d’avoir mis cette étape du processus de qualification derrière elle, Justine a expérimenté beaucoup de nouvelles choses liées à la vie à bord. Elle a également parfait sa connaissance du matériel électronique, notamment la gestion des diverses alarmes. «J’ai eu de la chance avec les conditions, et ai eu du plaisir tout le long. Ça aurait certainement été différent si j’avais eu du près serré et du vent fort.»
Justine Mettraux a participé à deux jours d’entraînement juste après son retour. Elle compte maintenant prendre deux jours de repos avant de reprendre sa préparation pour la première régate de l’année. L’Open Demi Clé, une course en double de 150 milles vers Pornichet partira en effet le 14 avril. Etienne David sera son coéquipier pour l’occasion.
*Un parcours qualificatif de 1000 milles (1850 kilomètres) devait être effectué avant la course Les Sables-Les Açores.
Source : TeamWork