Le jury a décidé de ne pas donner suite à cette plainte puisque le cas relevait d’une ambiguité dans l’interprétation de cette règle qui avait été clarifiée après le départ de l’étape 4.
Le jury, présidé par le juge international de l’ISAF, le Français Bernard Bonneau, a rendu son verdict sur la plainte déposée contre Telefonica concernant une possible violation de la règle 5.2.2 de l’Avis de course qui précise très exactement le nombre de voiles embarquées : un trysail de tempête, un foc de tempête et un foc de gros temps, plus un jeu de sept autres voiles au maximum composé d’une grand-voile, de deux voiles d’avant, trois spinnakers et d’une trinquette.
Le jury a donc décidé qu’il n’était pas raisonnable d’appliquer cette clarification de façon rétrospective, Telefonica ayant apporté les preuves de sa bonne foi. Le doute portait sur un foc de tempête que Telefonica avait précisé avoir embarqué après avoir reçu verbalement la précision du directeur de course et du chef jaugeur que la règle entendait « … un foc de tempête « au miminum » devait être à bord, à la seule condition de ne pas embarquer plus de 10 voiles sur cette étape. »
Telefonica avait bien 10 voiles à bord sur l’étape 4. Les clarifications écrites des questions soulevées par Telefonica avant le départ de l’étape 4 sur ce point de règlement ont été faites, le 16 mars, après le départ de l’étape 4. Il a été précisé que « tout foc de tempête supplémentaire sera compté comme voile d’avant. »
La plainte déposée a donc été rejetée puisque la clarification sur cette ambiguïté a été faite après le départ.
Le jury était composé de :
Bernard Bonneau (FRA), président
Peter Shrubb (BER)
Flavio Naveira (ARG)
Chris Atkins (GBR)
John Maccall (ARG)
Source : Volvo Ocean Race
Le jury, présidé par le juge international de l’ISAF, le Français Bernard Bonneau, a rendu son verdict sur la plainte déposée contre Telefonica concernant une possible violation de la règle 5.2.2 de l’Avis de course qui précise très exactement le nombre de voiles embarquées : un trysail de tempête, un foc de tempête et un foc de gros temps, plus un jeu de sept autres voiles au maximum composé d’une grand-voile, de deux voiles d’avant, trois spinnakers et d’une trinquette.
Le jury a donc décidé qu’il n’était pas raisonnable d’appliquer cette clarification de façon rétrospective, Telefonica ayant apporté les preuves de sa bonne foi. Le doute portait sur un foc de tempête que Telefonica avait précisé avoir embarqué après avoir reçu verbalement la précision du directeur de course et du chef jaugeur que la règle entendait « … un foc de tempête « au miminum » devait être à bord, à la seule condition de ne pas embarquer plus de 10 voiles sur cette étape. »
Telefonica avait bien 10 voiles à bord sur l’étape 4. Les clarifications écrites des questions soulevées par Telefonica avant le départ de l’étape 4 sur ce point de règlement ont été faites, le 16 mars, après le départ de l’étape 4. Il a été précisé que « tout foc de tempête supplémentaire sera compté comme voile d’avant. »
La plainte déposée a donc été rejetée puisque la clarification sur cette ambiguïté a été faite après le départ.
Le jury était composé de :
Bernard Bonneau (FRA), président
Peter Shrubb (BER)
Flavio Naveira (ARG)
Chris Atkins (GBR)
John Maccall (ARG)
Source : Volvo Ocean Race