Sarah Hébert et son équipe, partis depuis le 22 février des Almadies à Dakar, sont arrivés à Saint François en Guadeloupe lundi 12 mars. Après de multiples péripéties, et avoir rencontré des conditions météo extrêmes, Sarah a retrouvé la terre ferme, ses proches et admirateurs.
Après avoir repoussé ses limites et réalisé près d’un quart du défi sur sa planche de Windsurf grand public, Sarah a enfin retrouvé la terre ferme. « L’Océan est toujours le plus fort. Je pense que j’ai puisé au plus profond de moi pour ne pas abandonner. Mais il fallait se rendre à l’évidence, mon corps m’envoyait un signe et m’a protégé d’un péché d’orgueil. Je pense, avec le recul, avoir pris la meilleure décision, la raison l’emportant momentanément sur la passion », commentait Sarah Hébert à son arrivée à Saint François.
Sarah Hébert a en effet tout connu tout au long de sa traversée : un départ mouvementé au sortir de la baie de Dakar avec une mer hachée, des vents irréguliers, puis des vents d’Est soufflants constamment à 25/30 nœuds, un système de vagues croisé, une houle de 3 à 5m, de jour comme de nuit, l’empêchant de récupérer. Puis l’obligation de faire une escale technique sur l’île de Sal au Cap Vert suite à la perte de son téléphone satellitaire lors d’un appareillage périlleux.
Malgré sa préparation, Sarah a fait face à un obstacle impossible à surmonter en pleine mer : l’anémie la contraignant, malgré elle, à abandonner son défi fou. Depuis, Sarah a pu reprendre des forces.
Sarah Hebert, à quelques miles de Saint François, a eu l’agréable surprise de retrouver des amis windsurfers Guadeloupéens venus à sa rencontre pour tirer les derniers bords jusqu’à la plage où l’attendait un comité d’accueil composé d’amis, de proches, de journalistes et de vacanciers curieux de découvrir l’incroyable histoire de Sarah.
Source : A.Courtat / Windsurf Transatlantic
Credit : S. Hebert
Après avoir repoussé ses limites et réalisé près d’un quart du défi sur sa planche de Windsurf grand public, Sarah a enfin retrouvé la terre ferme. « L’Océan est toujours le plus fort. Je pense que j’ai puisé au plus profond de moi pour ne pas abandonner. Mais il fallait se rendre à l’évidence, mon corps m’envoyait un signe et m’a protégé d’un péché d’orgueil. Je pense, avec le recul, avoir pris la meilleure décision, la raison l’emportant momentanément sur la passion », commentait Sarah Hébert à son arrivée à Saint François.
Sarah Hébert a en effet tout connu tout au long de sa traversée : un départ mouvementé au sortir de la baie de Dakar avec une mer hachée, des vents irréguliers, puis des vents d’Est soufflants constamment à 25/30 nœuds, un système de vagues croisé, une houle de 3 à 5m, de jour comme de nuit, l’empêchant de récupérer. Puis l’obligation de faire une escale technique sur l’île de Sal au Cap Vert suite à la perte de son téléphone satellitaire lors d’un appareillage périlleux.
Malgré sa préparation, Sarah a fait face à un obstacle impossible à surmonter en pleine mer : l’anémie la contraignant, malgré elle, à abandonner son défi fou. Depuis, Sarah a pu reprendre des forces.
Sarah Hebert, à quelques miles de Saint François, a eu l’agréable surprise de retrouver des amis windsurfers Guadeloupéens venus à sa rencontre pour tirer les derniers bords jusqu’à la plage où l’attendait un comité d’accueil composé d’amis, de proches, de journalistes et de vacanciers curieux de découvrir l’incroyable histoire de Sarah.
Source : A.Courtat / Windsurf Transatlantic