CAMPER est passé de la première à la quatrième place en une nuit, derrière Groupama, Telefónica et PUMA. L’explication : une cloison avant abimée et 12 heures de réparations à la clef.
À 10h UTC, CAMPER with Emirates Team New Zealand est passé en quatrième position, 50 milles derrière les leaders français. L’équipage de Chris Nicholson menait encore hier à 19h UTC. Pourquoi ce coup de frein ?
« On a ralenti pendant 12 à 13 heures pour réparer une cloison avant, » explique Will Oxley au petit matin. Le 20 mars dernier, cette cloison avait déjà montré des signes de faiblesse, des fissures que les marins avaient alors réparées. Le navigateur explique que la cloison s’est de nouveau cassée en plusieurs endroits dans des vagues « comme des immeubles de deux étages. »
Rob Salthouse et Mike Pammenter ont dû découper la moitié de la cloison pour la relaminer … Dans 40 nœuds de vent et des creux de cinq mètres.
Oxley : « Salty et Mike ont fait un super boulot dans des conditions difficiles. C’était assez chaud : lorsqu’ils travaillent avec la scie ou la meuleuse, il faut éviter de sauter dans les vagues pour qu’ils ne se coupent pas la main à la place. On a bouclé les réparations maintenant et on chauffe l’avant du bateau pour essayer de cuire la cloison avant d’accélérer. »
Source : Volvo Ocean Race
À 10h UTC, CAMPER with Emirates Team New Zealand est passé en quatrième position, 50 milles derrière les leaders français. L’équipage de Chris Nicholson menait encore hier à 19h UTC. Pourquoi ce coup de frein ?
« On a ralenti pendant 12 à 13 heures pour réparer une cloison avant, » explique Will Oxley au petit matin. Le 20 mars dernier, cette cloison avait déjà montré des signes de faiblesse, des fissures que les marins avaient alors réparées. Le navigateur explique que la cloison s’est de nouveau cassée en plusieurs endroits dans des vagues « comme des immeubles de deux étages. »
Rob Salthouse et Mike Pammenter ont dû découper la moitié de la cloison pour la relaminer … Dans 40 nœuds de vent et des creux de cinq mètres.
Oxley : « Salty et Mike ont fait un super boulot dans des conditions difficiles. C’était assez chaud : lorsqu’ils travaillent avec la scie ou la meuleuse, il faut éviter de sauter dans les vagues pour qu’ils ne se coupent pas la main à la place. On a bouclé les réparations maintenant et on chauffe l’avant du bateau pour essayer de cuire la cloison avant d’accélérer. »
Source : Volvo Ocean Race