Travaux pratiques pour la première nuit de course de Telefonica : hier, les Espagnols ont cassé une pièce sur le point d’amure sur leur code zéro et ont dû réparer à bord.
« On naviguait avec le code zéro en tête de mât, pleine charge, » raconte Jordi Calafat, barreur et coordinateur du programme voile pour Telefonica. « Une des barres de la plaque métallique du point d’amure a cassé. On n’a pas cassé la voile, mais la plaque. »
Les hommes d’Iker Martinez ont dû affaler la voile d’avant, qui faseillait dangereusement. Puis il a fallu la rentrer à l’intérieur pour la réparer – une tâche complexe puisque le code zéro, voile de petit temps, est la plus grande de leur inventaire !
« Réparer la voile était très simple, » continue Calafat, qui s’est chargé des travaux de couture avec Zane Gills. « Le pire, c’était de la rentrer à l’intérieur. C’est l’une des voiles les plus lourdes et les plus grandes. D’habitude, on la garde au vent. Le dommage était fait sur l’un des coins de la voile et on l’a réparé à la main. Le matériel nécessaire était à bord, nous n’avons pas eu à rentrer au port. On a posé une nouvelle plaque et c’est reparti ! »
Calafat : « Je pense que la réparation va tenir, croisons les doigts. À part ça, tout va bien, on est de retour à pleine vitesse. On dépasse Abu Dhabi en ce moment – all good ! »
Source : Volvo Ocean Race
« On naviguait avec le code zéro en tête de mât, pleine charge, » raconte Jordi Calafat, barreur et coordinateur du programme voile pour Telefonica. « Une des barres de la plaque métallique du point d’amure a cassé. On n’a pas cassé la voile, mais la plaque. »
Les hommes d’Iker Martinez ont dû affaler la voile d’avant, qui faseillait dangereusement. Puis il a fallu la rentrer à l’intérieur pour la réparer – une tâche complexe puisque le code zéro, voile de petit temps, est la plus grande de leur inventaire !
« Réparer la voile était très simple, » continue Calafat, qui s’est chargé des travaux de couture avec Zane Gills. « Le pire, c’était de la rentrer à l’intérieur. C’est l’une des voiles les plus lourdes et les plus grandes. D’habitude, on la garde au vent. Le dommage était fait sur l’un des coins de la voile et on l’a réparé à la main. Le matériel nécessaire était à bord, nous n’avons pas eu à rentrer au port. On a posé une nouvelle plaque et c’est reparti ! »
Calafat : « Je pense que la réparation va tenir, croisons les doigts. À part ça, tout va bien, on est de retour à pleine vitesse. On dépasse Abu Dhabi en ce moment – all good ! »
Source : Volvo Ocean Race
