Que font-ils à cinq jours du départ de la Transat Jacques Vabre ? Skippers, équipes techniques ou organisateurs nous racontent. Et ils ne manquent pas de travail !
Jean Maurel, Directeur de course de la Transat Jacques Vabre : « Je règle un tas de petites choses. La sortie des bateaux, pour être sûr qu’ils arrivent dans les temps sur la ligne de départ ; je prépare le briefing sécurité qui aura lieu mercredi, des petites erreurs à corriger dans les instructions de course, les avenants de dernière minute. Il y a pas mal de monde impliqué dans une organisation comme ça : 75 bénévoles feront la sécurité du plan d’eau dimanche…J’essaye de tout mettre en place pour que ça ronronne dimanche et pendant la course. Il y a de quoi s’occuper. Il faut que ça roule ».
Kito de Pavant, skipper de Groupe Bel (Imoca) : « Les priorités de la semaine ? On n’ira pas à la plage à priori …quoique. La maison est un peu loin (Kito vit à côté de Montpellier, ndlr), alors on va rester par là. Et puis on ne vient que tous les deux ans au Havre, alors il faut en profiter. On a une petite liste de sacs à embarquer sur le bateau, on va essayer de ne rien oublier. Et commencer à regarder ce qui nous attend en fin de semaine question météo »
Anne-Charlotte Meyer, chargée de communication pour Virbac-Paprec Sailing team : « Cette semaine, je participe aux rendez-vous media avec Jean-Pierre Dick et Jérémie Beyou, je rédige la newsletter, je mets à jour le site, je m’occupe de twitter. Les journées seront très denses à partir de jeudi. Pour Jean-Pierre et Jérémie, le programme est très chargé et tout est minuté. Tous les jours, ils rencontrent les partenaires le temps d’un café. Ils ont ensuite 2 heures de rendez-vous media, puis ils sont libres pour faire de la météo, du sport. Jean-Pierre va nager tous les jours. Il faut vraiment respecter ce timing là pour ne pas que les marins soient débordés par les sollicitations…»
Julien Mabit, Monopticien.com (Multi50) : « Nous allons terminer la préparation du bateau. Je dois continuer à chercher un peu de sous pour boucler le budget. Il nous manque 10 ou 15 milles euros pour payer les dernières factures ! Et puis nous devons assurer le contrôle de sécurité et il y a les détails de l’avitaillement, les réglages du bateau, quelques ficelles à peaufiner… »
Antoine Gautier, directeur technique du 60’ Imoca Macif : « Cette semaine, nous finalisons la préparation du bateau. Nous réglons les petits détails que nous n’avons pas pu régler avant, notamment les questions de confort qui sont en général, pour l’équipe technique, les choses les moins prioritaires. Par exemple, finaliser la ‘cuisine’, trouver un joli matelas pour que François et Seb puissent se reposer, coller des porte-manteaux à l’intérieur du bateau, installer des porte-gobelets, c’est du détail de confort mais important malgré tout à l’échelle d’une transat… »
Guillaume Evrard, contrôleur de l’équipement course au large FFVoile : « Nous sommes là pour vérifier que tous les équipements de sécurité sont bien à bord, fonctionnent bien et sont bien compris par les skippers. On vérifie qu’ils ont bien les fusées de détresse à bord, que l’équipement électronique fonctionne, les AIS (automatic identification system), les feux de navigation, on vérifie tous les numéro de téléphone iridium et inmarsat, les gilets de sauvetage, que les lignes de vie soient à poste, on fait tout pour que la sécurité soit au top pour le départ de la course. »
Vincent Riou et Hugues Destremau, PRB : « On finit de préparer nos petites affaires. Tous les midi, nous avons une opération de relations publiques avec des clients de PRB. Le reste de la journée, on fait la sieste, on se repose, on prépare nos sacs et on va commencer à regarder la météo quand ce sera assez tôt. Et puis les contrôles de jauge dès lundi à 9 heures… »
Source : Transat Jacques Vabre
Jean Maurel, Directeur de course de la Transat Jacques Vabre : « Je règle un tas de petites choses. La sortie des bateaux, pour être sûr qu’ils arrivent dans les temps sur la ligne de départ ; je prépare le briefing sécurité qui aura lieu mercredi, des petites erreurs à corriger dans les instructions de course, les avenants de dernière minute. Il y a pas mal de monde impliqué dans une organisation comme ça : 75 bénévoles feront la sécurité du plan d’eau dimanche…J’essaye de tout mettre en place pour que ça ronronne dimanche et pendant la course. Il y a de quoi s’occuper. Il faut que ça roule ».
Kito de Pavant, skipper de Groupe Bel (Imoca) : « Les priorités de la semaine ? On n’ira pas à la plage à priori …quoique. La maison est un peu loin (Kito vit à côté de Montpellier, ndlr), alors on va rester par là. Et puis on ne vient que tous les deux ans au Havre, alors il faut en profiter. On a une petite liste de sacs à embarquer sur le bateau, on va essayer de ne rien oublier. Et commencer à regarder ce qui nous attend en fin de semaine question météo »
Anne-Charlotte Meyer, chargée de communication pour Virbac-Paprec Sailing team : « Cette semaine, je participe aux rendez-vous media avec Jean-Pierre Dick et Jérémie Beyou, je rédige la newsletter, je mets à jour le site, je m’occupe de twitter. Les journées seront très denses à partir de jeudi. Pour Jean-Pierre et Jérémie, le programme est très chargé et tout est minuté. Tous les jours, ils rencontrent les partenaires le temps d’un café. Ils ont ensuite 2 heures de rendez-vous media, puis ils sont libres pour faire de la météo, du sport. Jean-Pierre va nager tous les jours. Il faut vraiment respecter ce timing là pour ne pas que les marins soient débordés par les sollicitations…»
Julien Mabit, Monopticien.com (Multi50) : « Nous allons terminer la préparation du bateau. Je dois continuer à chercher un peu de sous pour boucler le budget. Il nous manque 10 ou 15 milles euros pour payer les dernières factures ! Et puis nous devons assurer le contrôle de sécurité et il y a les détails de l’avitaillement, les réglages du bateau, quelques ficelles à peaufiner… »
Antoine Gautier, directeur technique du 60’ Imoca Macif : « Cette semaine, nous finalisons la préparation du bateau. Nous réglons les petits détails que nous n’avons pas pu régler avant, notamment les questions de confort qui sont en général, pour l’équipe technique, les choses les moins prioritaires. Par exemple, finaliser la ‘cuisine’, trouver un joli matelas pour que François et Seb puissent se reposer, coller des porte-manteaux à l’intérieur du bateau, installer des porte-gobelets, c’est du détail de confort mais important malgré tout à l’échelle d’une transat… »
Guillaume Evrard, contrôleur de l’équipement course au large FFVoile : « Nous sommes là pour vérifier que tous les équipements de sécurité sont bien à bord, fonctionnent bien et sont bien compris par les skippers. On vérifie qu’ils ont bien les fusées de détresse à bord, que l’équipement électronique fonctionne, les AIS (automatic identification system), les feux de navigation, on vérifie tous les numéro de téléphone iridium et inmarsat, les gilets de sauvetage, que les lignes de vie soient à poste, on fait tout pour que la sécurité soit au top pour le départ de la course. »
Vincent Riou et Hugues Destremau, PRB : « On finit de préparer nos petites affaires. Tous les midi, nous avons une opération de relations publiques avec des clients de PRB. Le reste de la journée, on fait la sieste, on se repose, on prépare nos sacs et on va commencer à regarder la météo quand ce sera assez tôt. Et puis les contrôles de jauge dès lundi à 9 heures… »
Source : Transat Jacques Vabre
