24 heures avant le départ de la Transat Jacques Vabre, Marc Guillemot et Yann Eliès sont parfaitement prêts. Pour la troisième fois, le monocoque Safran s’élancera dans cette course où il affiche un palmarès d’exception : deuxième en 2007 et vainqueur en 2009. Les deux skippers sont prêts à relever le challenge.
Une machine à la fiabilité éprouvée
« Concernant la nouvelle quille en titane, ce qui compte pour moi c’est la fiabilité : le fait d’avoir remplacé l’ancienne quille par celle-ci répond avant tout à cette priorité des priorités », insiste Marc Guillemot. Conscients de disposer d’une machine optimisée et très performante, Marc et Yann partent avec en tête les objectifs les plus élevés. Le podium, voire mieux, mais en tous cas faire la plus belle course possible ».
A 48 heures du départ, qui s’annonce musclé, ambiance ciré avec des dépressions successives et du vent de 25 à 35 nœuds, l’équipe à terre peaufine les derniers détails et achève l’avitaillement. Yann et Marc peuvent se reposer et surtout se concentrer sur la météo avec l’aide de Sylvain Mondon de Météo France.
La force de l’expérience
Entre deux passages sur le stand Safran, les deux marins sont plongés dans une ambiance studieuse. Ils savent que les toutes premières décisions stratégiques sont capitales sur cette Transat. « L’heure est aux derniers moments passés avec les proches et à un sommeil qu’on essaie de fractionner de plus en plus pour habituer le corps à se mettre dans le rythme de la course », explique Yann Eliès.
L’expérience est fondamentale dans ces moments d’avant course. Marc et Yann savent que des heures difficiles les attendent. « Ce qui est sûr c’est que nous serons pressés de mettre le clignotant à gauche pour descendre vers le sud et trouver un climat plus clément, sourit Marc Guillemot, car ce qui nous attend est comparable aux conditions viriles que l’on a connues il y a deux ans ». L’édition 2009 de la Transat Jacques Vabre avait vu le grand monocoque gris et orange remporter la victoire. Une répétition de l’histoire ne serait pas pour déplaire à son équipage…
Source : Millet une Vagues / Safran
Credit : Safran
« C’est toujours très excitant de participer à une grande course comme la Transat Jacques Vabre, de surcroît avec une belle concurrence. Il n’y a rien de pire que les courses gagnées d’avance… Pour la Transat, c’est loin d’être le cas ! », confie Marc Guillemot qui sait bien que cette fois Safran n’est pas considéré comme le bateau le plus rapide de la flotte. Selon lui, « Les bateaux de dernière génération ont forcément un petit plus côté vitesse comme nous l’aurions si nous avions fait un bateau neuf. C’est normal d’améliorer à chaque fois les performances. Mais nous conservons l’avantage de la fiabilité éprouvée d’un bateau référence qui a déjà parcouru plus de 80 000 milles ». Yann Eliès renchérit : « Avec le train de dépressions qui s’annonce dès le départ, la fiabilité de Safran me semble être notre principal atout ».Une machine à la fiabilité éprouvée
« Concernant la nouvelle quille en titane, ce qui compte pour moi c’est la fiabilité : le fait d’avoir remplacé l’ancienne quille par celle-ci répond avant tout à cette priorité des priorités », insiste Marc Guillemot. Conscients de disposer d’une machine optimisée et très performante, Marc et Yann partent avec en tête les objectifs les plus élevés. Le podium, voire mieux, mais en tous cas faire la plus belle course possible ».
A 48 heures du départ, qui s’annonce musclé, ambiance ciré avec des dépressions successives et du vent de 25 à 35 nœuds, l’équipe à terre peaufine les derniers détails et achève l’avitaillement. Yann et Marc peuvent se reposer et surtout se concentrer sur la météo avec l’aide de Sylvain Mondon de Météo France.
La force de l’expérience
Entre deux passages sur le stand Safran, les deux marins sont plongés dans une ambiance studieuse. Ils savent que les toutes premières décisions stratégiques sont capitales sur cette Transat. « L’heure est aux derniers moments passés avec les proches et à un sommeil qu’on essaie de fractionner de plus en plus pour habituer le corps à se mettre dans le rythme de la course », explique Yann Eliès.
L’expérience est fondamentale dans ces moments d’avant course. Marc et Yann savent que des heures difficiles les attendent. « Ce qui est sûr c’est que nous serons pressés de mettre le clignotant à gauche pour descendre vers le sud et trouver un climat plus clément, sourit Marc Guillemot, car ce qui nous attend est comparable aux conditions viriles que l’on a connues il y a deux ans ». L’édition 2009 de la Transat Jacques Vabre avait vu le grand monocoque gris et orange remporter la victoire. Une répétition de l’histoire ne serait pas pour déplaire à son équipage…
Source : Millet une Vagues / Safran