L’Equipe de France a laissé de côté les harnais, combinaisons et bottillons pour une semaine en altitude. C’est en effet à Oloron – Sainte Marie, dans les Pyrénées, que le collectif s’est réuni à l’occasion de son stage de cohésion annuel. Au programme de cette semaine, randonnée, course d’orientation, escalade et … pelote basque.
Pour le DTN, l’objectif d’une telle semaine est clair : « Je voulais qu’ils soient ensemble afin de constituer une pré-équipe qui sera présente aux Jeux ». Tous les membres de l’Equipe de France, ainsi que l’encadrement, étaient présents. Au total, 45 personnes ont participé à ce rassemblement. Vendredi, l’Equipe de France a quitté les Pyrénées. Elle se retrouvera au mois de décembre pour le championnat du monde ISAF, à Perth (Australie).
Interview de Philippe Gouard :
« C’est un stage de cohésion qui a rempli ses objectifs. Il y avait toute l’équipe de France, c’est-à-dire les athlètes, les entraîneurs mais aussi les kinés et les médecins. Je voulais qu’ils soient ensemble afin de constituer une pré-équipe qui sera présente aux JO. Cela permet de faire un groupe solidaire et harmonieux et pas une addition d’individualités. Les différentes activités permettent des échanges libres et naturels. Ça fait tomber les tabous. »
Source : FFV
Credit : Lionel Cotin / FFVoile
Pour le DTN, l’objectif d’une telle semaine est clair : « Je voulais qu’ils soient ensemble afin de constituer une pré-équipe qui sera présente aux Jeux ». Tous les membres de l’Equipe de France, ainsi que l’encadrement, étaient présents. Au total, 45 personnes ont participé à ce rassemblement. Vendredi, l’Equipe de France a quitté les Pyrénées. Elle se retrouvera au mois de décembre pour le championnat du monde ISAF, à Perth (Australie).
Interview de Philippe Gouard :
« C’est un stage de cohésion qui a rempli ses objectifs. Il y avait toute l’équipe de France, c’est-à-dire les athlètes, les entraîneurs mais aussi les kinés et les médecins. Je voulais qu’ils soient ensemble afin de constituer une pré-équipe qui sera présente aux JO. Cela permet de faire un groupe solidaire et harmonieux et pas une addition d’individualités. Les différentes activités permettent des échanges libres et naturels. Ça fait tomber les tabous. »
Source : FFV