Blessé au dos depuis le deuxième jour de course de cette seconde étape, Sébastien Rogues a dû s’arrêter ce matin à Mindelo sur l’île de Sao Vicente. Après avoir amarré son prototype « Eole Generation – GDF SUEZ », il s’est fait examiner par un médecin, qui lui a recommandé un arrêt de toutes activités physiques. Sébastien, très déçu a dû renoncer à poursuivre l’aventure.
Coup dur ce matin pour Sébastien Rogues qui suite à un problème au dos survenu lors du deuxième jour de cette seconde étape, a dû renoncer à poursuivre l’aventure vers Bahia. Sébastien est tombé sur la tête de quille à l’intérieur de son bateau provocant une forte douleur dans le dos. Après quatre nuits sans pouvoir dormir, dans un état de fatigue important, il a décidé de s’arrêter au Cap Vert afin de faire un contrôle médical. Après un examen approfondi et des radios du dos, il s’avère que le nerf sciatique a été légèrement touché.
Le médecin a recommandé au navigateur un arrêt de toutes activités physiques. Sébastien extrêmement déçu a décidé par mesure de sécurité d’interrompre la course. Exceptionnel vainqueur de la première étape entre la Rochelle et l’île de Madère, Sébastien Rogues, était dans le groupe de tête à l’approche du passage des îles du Cap Vert. 4ème mais bien positionné à l’ouest, il aurait pu profiter d’un angle de vent plus loffé que ses concurrents pour éventuellement repasser en tête de la flotte à l’attaque du pot au noir. Démontrant une nouvelle fois grâce à sa navigation éclairée qu’il était un véritable postulant à la victoire finale, Sébastien contrôlait cette deuxième étape malgré une douleur insoutenable.
Une expérience pour le futur
Déçu mais conscient que ce genre de mésaventure fais partie des fortunes de mer de tous skippers, Sébastien Rogues souhaite toutefois positiver: « Je suis frustré car je voulais vraiment gagner. J’ai vraiment essayé de continuer mais la douleur est trop vive. Je n’ai pas dormi depuis quatre jours tellement mon dos me fait souffrir. La moindre manœuvre devenait un cauchemar, je me suis fait très peur en affalant le spi. J’ai donc décidé d’abandonner à contre cœur mais je ne voulais pas mettre ma vie en danger. Ma victoire dans la première étape restera mon meilleur souvenir. Cela m’a permis de prendre conscience de mon potentiel et de me projeter vers l’avenir. »
Source : Eole Generation - GDF SUEZ / Charente Maritime Bahia Transat 6,50
Coup dur ce matin pour Sébastien Rogues qui suite à un problème au dos survenu lors du deuxième jour de cette seconde étape, a dû renoncer à poursuivre l’aventure vers Bahia. Sébastien est tombé sur la tête de quille à l’intérieur de son bateau provocant une forte douleur dans le dos. Après quatre nuits sans pouvoir dormir, dans un état de fatigue important, il a décidé de s’arrêter au Cap Vert afin de faire un contrôle médical. Après un examen approfondi et des radios du dos, il s’avère que le nerf sciatique a été légèrement touché.
Le médecin a recommandé au navigateur un arrêt de toutes activités physiques. Sébastien extrêmement déçu a décidé par mesure de sécurité d’interrompre la course. Exceptionnel vainqueur de la première étape entre la Rochelle et l’île de Madère, Sébastien Rogues, était dans le groupe de tête à l’approche du passage des îles du Cap Vert. 4ème mais bien positionné à l’ouest, il aurait pu profiter d’un angle de vent plus loffé que ses concurrents pour éventuellement repasser en tête de la flotte à l’attaque du pot au noir. Démontrant une nouvelle fois grâce à sa navigation éclairée qu’il était un véritable postulant à la victoire finale, Sébastien contrôlait cette deuxième étape malgré une douleur insoutenable.
Une expérience pour le futur
Déçu mais conscient que ce genre de mésaventure fais partie des fortunes de mer de tous skippers, Sébastien Rogues souhaite toutefois positiver: « Je suis frustré car je voulais vraiment gagner. J’ai vraiment essayé de continuer mais la douleur est trop vive. Je n’ai pas dormi depuis quatre jours tellement mon dos me fait souffrir. La moindre manœuvre devenait un cauchemar, je me suis fait très peur en affalant le spi. J’ai donc décidé d’abandonner à contre cœur mais je ne voulais pas mettre ma vie en danger. Ma victoire dans la première étape restera mon meilleur souvenir. Cela m’a permis de prendre conscience de mon potentiel et de me projeter vers l’avenir. »
Source : Eole Generation - GDF SUEZ / Charente Maritime Bahia Transat 6,50