Crédit : M. Mochet
La passion des classiquesLes régatiers sont donc prêts à en découdre, mais avec leurs montures si élancées, il ne faut prendre aucun risque. Stéphane Even, propriétaire de Dione, un sloop de 1959 résume la philosophie de la course : « L’objectif c’est d’abord d’arriver aux Açores, bien placés si nous le pouvons. Nous voulons faire une belle course, propre, engagée et au maximum des possibilités du bateau. Mais ce sont des yachts en bois, il faut en prendre soin, surtout si le vent est fort. »
Olivier Pecoux, skipper et propriétaire de Amazon, le plus grand des yachts inscrits est lui aussi impatient d’affronter ses concurrents : « C’est une course, et si on la fait c’est évidemment pour se battre et essayer de faire un bon résultat. Et avec la jauge, tout le monde a sa chance. Mais ce sont des bateaux classiques, il faut donc avoir du respect pour eux et prendre en compte leurs spécificités. ».
Source : Rivacom