Crédit : B Stichelbaut / Sea&Co/ Sodebo
La fameuse dépression située au Nord des Canaries peine à se décaler dans l’Est. Les conséquences sont importantes, non seulement pour le skipper qui devra rallonger sa route pour la contourner par le Nord-Ouest, mais aussi parce qu’elle empêche les alizés de s’établir. Après les Canaries, les conditions de navigation ne sont donc plus très propices à la vitesse.
En jetant un œil sur ce qui se passe juste derrière, on peut découvrir l’arrivée d’une seconde dépression. On comprendra alors le casse tête pour les routeurs qui s’arrachent les cheveux devant les différents modèles météo afin de trouver le meilleur moment pour partir de Brest, mais surtout pour se faufiler dans ce passage vraiment étroit que Thomas devrait atteindre trois jours après le départ.
Source : Sodebo