© DESROCHE Pascal/Prince de Bretagne
Une escale obligatoire
Avec une partie du chariot de grand voile arraché, Prince de Bretagne n’a plus la totalité de son potentiel pour poursuivre la course. C’est la raison pour laquelle les deux skippers du Multi50 ont décidé de faire escale à La Corogne pour réparer. «La têtière de grand voile est détachée » explique Hervé Cléris. «Il manque 20 centimètres de rail, on est sous deux ris et gennaker, ce n’est pas possible de continuer jusqu’au Costa Rica dans ces conditions. Notre route passe près de la pointe espagnole c’est pourquoi nous nous arrêterons à La Corogne».
Prince de Bretagne devrait atteindre le port galicien demain midi pour une escale de quelques heures. «Nous avons à bord des morceaux de rail pour réparer, en revanche, nous ne disposons pas de l’outillage nécessaire. Avec l’organisation, nous cherchons donc ce qu’il faut sur place. Il n’est pas obligatoire de faire descendre quelqu’un de l’équipe depuis la Bretagne pour effectuer la réparation, avec les outils adéquats, nous pourrons faire le boulot tous les deux. Ce n’est pas raisonnable de faire faire 1500 kilomètres à quelqu’un avec des délais aussi courts. En trois ou quatre heures, ce sera réparé et nous pourrons reprendre la mer. J’avoue que ce matin on avait un peu le moral dans les chaussettes mais, après avoir analysé l’avarie, nous nous sommes rendus compte que cette escale ne serait pas trop pénalisante finalement ».
Avec une partie du chariot de grand voile arraché, Prince de Bretagne n’a plus la totalité de son potentiel pour poursuivre la course. C’est la raison pour laquelle les deux skippers du Multi50 ont décidé de faire escale à La Corogne pour réparer. «La têtière de grand voile est détachée » explique Hervé Cléris. «Il manque 20 centimètres de rail, on est sous deux ris et gennaker, ce n’est pas possible de continuer jusqu’au Costa Rica dans ces conditions. Notre route passe près de la pointe espagnole c’est pourquoi nous nous arrêterons à La Corogne».
Prince de Bretagne devrait atteindre le port galicien demain midi pour une escale de quelques heures. «Nous avons à bord des morceaux de rail pour réparer, en revanche, nous ne disposons pas de l’outillage nécessaire. Avec l’organisation, nous cherchons donc ce qu’il faut sur place. Il n’est pas obligatoire de faire descendre quelqu’un de l’équipe depuis la Bretagne pour effectuer la réparation, avec les outils adéquats, nous pourrons faire le boulot tous les deux. Ce n’est pas raisonnable de faire faire 1500 kilomètres à quelqu’un avec des délais aussi courts. En trois ou quatre heures, ce sera réparé et nous pourrons reprendre la mer. J’avoue que ce matin on avait un peu le moral dans les chaussettes mais, après avoir analysé l’avarie, nous nous sommes rendus compte que cette escale ne serait pas trop pénalisante finalement ».
Source : Prince de Bretagne