Malgré l’avarie survenue sur le Multi50 Prince de Bretagne le 21 octobre dernier, la marque leader dans le monde des fruits et légumes frais, sera présente sur la Transat Jacques Vabre et c’est l’ancien trimaran d’Hervé Cléris qui en portera les couleurs. Cette décision, prise rapidement, montre à la fois l’esprit de solidarité et la capacité à rebondir face à l’adversité qui animent à la fois les producteurs de légumes frais et les marins.
Crédit : DESROCHE Pascal
Ce n’est pas une légende, face aux difficultés, les producteurs savent se serrer les coudes et n’ont pas pour habitude de renoncer. Depuis mercredi dernier, il a d’abord fallu qu’Hervé Cléris, son équipe et ses partenaires accusent le coup. La déconvenue étant de taille. Mais rapidement, la volonté de continuer le projet de la Transat Jacques Vabre a pris le pas sur la déception. Dès lors, c’est vers l’avenir que le team Prince de Bretagne s’est tourné et ceci, malgré des difficultés de taille, les premières étant naturellement les délais pour être au départ de la course.
Joseph Rousseau, président de Prince de Bretagne :
«La première chose, c’est que nous savons ce que signifie se soutenir, et ce qui nous anime, en cas de problème, c’est de trouver des solutions. Les choses ont évolué d’heure en heure, il nous a fallu bien sûr un peu de temps pour accepter ce coup du sort. En fait, nous avons réagi de la même manière, que ce soient nous ou les skippers, à savoir, que nous ne voulions pas suspendre ce projet de Transat Jacques Vabre si nous trouvions des solutions. Nous mesurons tout l’intérêt à participer à la Jacques Vabre au regard du travail de fond qui a déjà été réalisé. Nous voulons aussi faire la démonstration que nous savons rebondir pour continuer une aventure qui nous passionne ».
Hervé Cléris, skipper de Prince de Bretagne :
«Il faut rebondir plutôt que rester à se morfondre. C’est le plus important pour tout le monde, pour nous, comme pour les producteurs. Mon bateau est déjà au sec, demain on fait la peinture, tout le matériel qui nécessitait d’être changé est commandé, le plan B est en route. Dimanche ou lundi au plus tard nous partons au Havre, ça va aller. Sur ce trimaran, qui m’appartient depuis 19 ans, j’ai déjà réalisé 20 transats, Christophe a dû en faire six ou sept, donc nous n’allons pas dans l’inconnu, au contraire. En revanche, c’est sûr que nous allons jouer la sécurité, le but, c’est de finir la course. Cela dit, il peut y avoir quand même de bonnes surprises ».
Joseph Rousseau, président de Prince de Bretagne :
«La première chose, c’est que nous savons ce que signifie se soutenir, et ce qui nous anime, en cas de problème, c’est de trouver des solutions. Les choses ont évolué d’heure en heure, il nous a fallu bien sûr un peu de temps pour accepter ce coup du sort. En fait, nous avons réagi de la même manière, que ce soient nous ou les skippers, à savoir, que nous ne voulions pas suspendre ce projet de Transat Jacques Vabre si nous trouvions des solutions. Nous mesurons tout l’intérêt à participer à la Jacques Vabre au regard du travail de fond qui a déjà été réalisé. Nous voulons aussi faire la démonstration que nous savons rebondir pour continuer une aventure qui nous passionne ».
Hervé Cléris, skipper de Prince de Bretagne :
«Il faut rebondir plutôt que rester à se morfondre. C’est le plus important pour tout le monde, pour nous, comme pour les producteurs. Mon bateau est déjà au sec, demain on fait la peinture, tout le matériel qui nécessitait d’être changé est commandé, le plan B est en route. Dimanche ou lundi au plus tard nous partons au Havre, ça va aller. Sur ce trimaran, qui m’appartient depuis 19 ans, j’ai déjà réalisé 20 transats, Christophe a dû en faire six ou sept, donc nous n’allons pas dans l’inconnu, au contraire. En revanche, c’est sûr que nous allons jouer la sécurité, le but, c’est de finir la course. Cela dit, il peut y avoir quand même de bonnes surprises ».
Source : Prince de Bretagne