©Stéphanie Gaspari
Derrière eux, c'est la valse des prétendants : principale victime de la dorsale, l'équipage britannique de Keysource qui, embarqué dans une option malheureuse au nord, accuse maintenant près de 100 milles de retard sur les leaders et se retrouve en 16ème position. D'autres en revanche ont profité de l'aubaine pour se refaire une santé, tel le duo Pierre-Yves Chatelain – Lionel Régnier (Destination Calais) qui a su compenser le petit déficit de vitesse d'un bateau ancien par une stratégie astucieuse et une vigilance de tous les instants dans les petits airs…
Pour certains bateaux, la traversée de la dorsale s'est révélée catastrophique : Richard Tolkien et Neal Brewer (Orca) en queue de flotte pointent à plus de 250 milles de la tête de la course, soit plus de vingt-quatre heures de mer. Les autres tenants de l'option nord, Techneau (Dutoit – Daval), Groupe Sefico (Vallée – Caiveau) et Vale Inco Nouvelle Calédonie (Ecarlat – Gabriel) pointent à plus de 150 milles. Pour les premiers, l'arrivée pourrait se jouer dans la nuit de samedi à dimanche. Les arrivées devraient ensuite se succéder jusqu'à lundi matin. Même les amoureux de musique populaire n'apprécient pas toujours ce genre de musette…
Source : Les Sables - Horta - Les sables
Pour certains bateaux, la traversée de la dorsale s'est révélée catastrophique : Richard Tolkien et Neal Brewer (Orca) en queue de flotte pointent à plus de 250 milles de la tête de la course, soit plus de vingt-quatre heures de mer. Les autres tenants de l'option nord, Techneau (Dutoit – Daval), Groupe Sefico (Vallée – Caiveau) et Vale Inco Nouvelle Calédonie (Ecarlat – Gabriel) pointent à plus de 150 milles. Pour les premiers, l'arrivée pourrait se jouer dans la nuit de samedi à dimanche. Les arrivées devraient ensuite se succéder jusqu'à lundi matin. Même les amoureux de musique populaire n'apprécient pas toujours ce genre de musette…
Source : Les Sables - Horta - Les sables