Alain Thébault et une partie de son équipe ont dévoilé les plans de l’Hydroptère.ch lors d’une conférence de presse organisée à Lausanne, sur le campus de l’école polytechnique fédérale, conseiller scientifique du projet. Ce nouveau bateau laboratoire, dont la construction a déjà démarré en Bretagne, sera une plateforme d'essai à échelle réduite du futur Hydroptère maxi.
S’inspirant de la démarche d’Alain Thébault, qui a d’abord construit trois maquettes avant de se lancer dans celle de l’actuel trimaran de 60 pieds, l’Hydroptère.ch aura pour objectif principal de tester des géométries et comportements en conditions réelles variées en vue de la conception de l’Hydroptère maxi.
S’inspirant de la démarche d’Alain Thébault, qui a d’abord construit trois maquettes avant de se lancer dans celle de l’actuel trimaran de 60 pieds, l’Hydroptère.ch aura pour objectif principal de tester des géométries et comportements en conditions réelles variées en vue de la conception de l’Hydroptère maxi.
L’Hydroptère.ch sera un catamaran, de 35 pieds, avec coqueron central structurel et des foils en V. Il sera équipé d'une dérive permettant de naviguer avec les foils hors de l'eau lorsque les conditions ne permettront pas de décoller, et non plus d'un seul ensemble arrière comme sur l'Hydroptère mais de deux ensembles arrière complets safran-plan porteur. Ceci afin d’assurer un meilleur équilibre en vol. Le gréement a, quant à lui, été dessiné pour satisfaire une large gamme de conditions météorologiques.
Le bateau sera un véritable laboratoire flottant, équipé de systèmes mécaniques ingénieux permettant divers réglages en navigation. La plateforme ainsi que tous les éléments et technologies testées sur l’Hydroptère.ch devront être transposables à l’échelle du maxi.
Copyright : l'Hydroptère
Source : L'Hydroptère