Tout est prêt à bord du monocoque Imoca 60 Delta Dore. L'équipe technique peaufine les ultimes détails techniques. Les vêtements, le matériel de sécurité, l'avitaillement sont embarqués ... Alors, à une semaine de sa première circumnavigation en solitaire, à quoi Jérémie Beyou consacre-t-il ses journées ? Les briefings officiels « Cette semaine va être ponctuée de plusieurs breifings officiels. Il y en avait un lundi matin : nous avons abordé des questions précises concernant le départ, les instructions de course, la jauge... C'est bien, on se met dans le bain ! », remarque Jérémie.
Jérémie Beyou : t'es fou d'y aller ?
Les rendez-vous avec la presse Toute la semaine, le skipper Delta Dore sera également à disposition de la presse : « Nous avons défini des créneaux horaires dédiés aux interviews, en fin de matinée et en fin d'après-midi », précise Jérémie.
Deux soirées partenaires Mercredi et jeudi soir, Delta Dore fête son skipper : instants partagés et émotions seront sans nul doute au rendez-vous.
Incontournable Météo Doucement mais sûrement, au fil des jours, la météo va prendre une place prépondérante : « je commence à regarder les fichiers pour savoir en gros ce qui nous attend, mais je ne m'attaquerai à la stratégie qu'à partir de mercredi. Je recevrai des éléments de réflexion de la part de Pierre Lasnier et de Jean-Yves Bernot. J'y consacrerai environ une heure par jour. Samedi soir, nous aurons un dernier briefing météo avec le Pôle France Finistère Course au Large, animé par Jean-Yves Bernot. »
Dormir et se relaxer... en famille Entre les briefings, les interviews et la stratégie, Jérémie se ménage d'indispensables plages de repos. Paradoxalement, ce n'est pas forcément ce qu'il y a de plus simple pour le skipper Delta Dore. Heureusement, Anna, sa femme, et leurs deux enfants l'ont rejoint aux Sables d'Olonne : « Nous prenons tous nos repas ensemble, le matin je m'occupe un peu des enfants... Ils savent que je vais partir, mais les préparatifs se font en douceur, progressivement, donc ça va !C'est important de pouvoir s'extraire du bateau et du village de la course. Il faut s'y tenir, car j'ai toujours envie d'aller voir l'équipe technique, de passer du temps à bord, d'étudier la stratégie...»
Source : Delta Dore