Afin de rejoindre la zone de départ de la première étape de La Solitaire du Figaro. Les 50 concurrents quittent en solitaire depuis 8h ce matin les pontons de La Rochelle. Le grand jour est pour aujourd'hui, 13h. Avec au bas mot 15 à 20 prétendants « logiques » au podium, cette 39e Solitaire du Figaro promet de jolies vagues d’émotions.
Corentin Douguet ce matin, quelques minutes avant de quitter les pontons de la Rochelle :
« J’ai bien dormi. Max (son fils) a fait sa nuit ! C’est plutôt sympa car une veille de départ, ce n’est pas toujours le cas. On part sur une étape un peu compliquée, là, je vais aller voir une dernière fois dans le bateau ce que la météo raconte plus précisément. Ce ne sera pas simple, mais ce sera rigolo. Les nuits qui viennent vont être courtes. »
Armel Tripon (Gedimat) : "Une course à élimination"
Je me sens fin prêt pour ce premier combat… C’est la première fois que je me sens aussi serein et aussi ben préparé avant le départ. J’aurais peut-être un jeu moins dangereux que les années précédentes, même si je n’hésiterai pas si une réelle opportunité se présente. Ce sera une course à élimination je pense… il ne faudra pas se ‘cramer’ dès le début. »
Erwan Tabarly :
« Ca va être un départ dans les petits airs… Donc un départ qui va d’emblée mettre nos nerfs à rude épreuve ! L’étape s’annonce difficile et fatigante. Pourquoi ? Et bien, parce qu’étant donné qu’il n’y aura pas de vent, il va falloir être dessus en permanence, nous allons avoir beaucoup de travail aux réglages. Dans la pétole, il faut pouvoir exploiter la moindre petite risée, les écarts peuvent très vite se creuser alors il faut être devant dès le début et surtout se maintenir ! Cette première étape peut s’avérer capitale. Le classement de la course se fait au temps et non aux points, donc plus les écarts sont importants à l’arrivée, plus c’est difficile pour ceux qui sont derrière de revenir ! »
Corentin Douguet ce matin, quelques minutes avant de quitter les pontons de la Rochelle :
« J’ai bien dormi. Max (son fils) a fait sa nuit ! C’est plutôt sympa car une veille de départ, ce n’est pas toujours le cas. On part sur une étape un peu compliquée, là, je vais aller voir une dernière fois dans le bateau ce que la météo raconte plus précisément. Ce ne sera pas simple, mais ce sera rigolo. Les nuits qui viennent vont être courtes. »
Armel Tripon (Gedimat) : "Une course à élimination"
Je me sens fin prêt pour ce premier combat… C’est la première fois que je me sens aussi serein et aussi ben préparé avant le départ. J’aurais peut-être un jeu moins dangereux que les années précédentes, même si je n’hésiterai pas si une réelle opportunité se présente. Ce sera une course à élimination je pense… il ne faudra pas se ‘cramer’ dès le début. »
Erwan Tabarly :
« Ca va être un départ dans les petits airs… Donc un départ qui va d’emblée mettre nos nerfs à rude épreuve ! L’étape s’annonce difficile et fatigante. Pourquoi ? Et bien, parce qu’étant donné qu’il n’y aura pas de vent, il va falloir être dessus en permanence, nous allons avoir beaucoup de travail aux réglages. Dans la pétole, il faut pouvoir exploiter la moindre petite risée, les écarts peuvent très vite se creuser alors il faut être devant dès le début et surtout se maintenir ! Cette première étape peut s’avérer capitale. Le classement de la course se fait au temps et non aux points, donc plus les écarts sont importants à l’arrivée, plus c’est difficile pour ceux qui sont derrière de revenir ! »
Franck Le Gal :
Michel Desjoyeaux, vainqueur en 1992, 1998 et 2007, en charge de la météo sur les deux premières étapes de la Solitaire du Figaro pour le Centre d’Entraînement de Port La Forêt :
« Compte tenu de la physionomie de la course cette année, je verrai bien un scénario type édition 1998 où à chaque étape, les concurrents s’éliminaient par paquet de 10… Pour cette première étape en tout cas, il va falloir avoir très envie d’aller manger des tapas ! »
Sources : La Solitaire, Athema, DefiSolo