« On en a bien bavé. Je suis content d’en finir car ça a été très laborieux.Ca m’a rappelé cette étape en 2006 quand Nico a mis 7 heures à tout le monde aux Birvideaux (l’année où Troussel a remporté la Solitaire, ndr). Là, c’est un peu la même. D’un point de vue comptable, ce n’est pas une bonne opération pour nous, c’est sûr. Mais malgré tout, je suis content. Je n’ai pas lâché l’affaire. Je me suis arraché comme jamais depuis que je fais du Figaro et les 48 premières heures, dans la pétole noire, c’était vraiment l’enfer. C’est le point positif de l’histoire. J’ai très peu dormi, j’étais tout le temps l’écoute à la main. Mais à choisir, je préfère le près dans la brise, ça tape, ca bouge, ca vit, c’est du bateau quoi ! Maintenant, il n’y a plus qu’à attaquer ce foutu convoyage. Je suis trempé, le bateau est en vrac, je n’ai plus que du ‘lyophal’ à manger, c’est un peu la misère ».
Source : La Solitaire