
Une observation plus précise lui a révélé que la fixation de la barre de flèche sur le mât était en train de céder. Avec deux ris dans la grand voile, soulageant les ballasts et s'écartant du lit du vent, il a durant quelques heures, viré de bord afin de présenter au vent toujours soutenu de la nuit dernière, 15 à 20 noeuds, son flanc bâbord et soulager ainsi les efforts sur l'espar endommagé.
Si tout va bien, je ferai mon passage de ligne demain matin...

Source : Générali
Crédit Photo : Yann Eliès