Telefonica va faire escale en Argentine, à Ushuaia, pour réparer son étrave endommagée. Une décision prise pour préserver les chances de l'équipage de se hisser sur le podium de cette cinquième étape.
Il y a quelques jours, Telefónica a annoncé devoir ralentir pour ne pas aggraver une avarie à l'avant du bateau.
Iker Martinez, le skipper du bateau espagnol, confirmait hier une delamination à l'avant suite au choc particulièrement violent d’une déferlante.
Aujourd’hui, il estime qu’une escale est nécessaire pour espérer bien finir cette étape dont l’arrivée est prévue le 4 avril prochain à Itajaí, au Brésil.
« Comme vous pouvez le voir sur la cartographie, » a déclaré le skipper, « nous n'avons aucun problème pour continuer à naviguer. Mais si nous continuons à planter violemment contre les vagues, nous risquons d'aggraver la situation et nous voulons la contrôler.
« Jusqu'à présent, nous avons renforcé la section qui est délaminée et fragilisée. Le problème est que rien ne sèche à bord et qu'il faut sans arrêt refaire des réparations. À terre, ce serait un jeu d'enfant. Mais ici, en mer, avec le froid qui règne (entre cinq et neuf degrés), tout est plus difficile. »
Avec Abu Dhabi Ocean Racing à plus de 1000 milles et CAMPER qui prévoit de s'arrêter au Chili, Telefónica a encore toutes ses chances pour monter sur le podium.
Source : Volvo Ocean Race
Il y a quelques jours, Telefónica a annoncé devoir ralentir pour ne pas aggraver une avarie à l'avant du bateau.
Iker Martinez, le skipper du bateau espagnol, confirmait hier une delamination à l'avant suite au choc particulièrement violent d’une déferlante.
Aujourd’hui, il estime qu’une escale est nécessaire pour espérer bien finir cette étape dont l’arrivée est prévue le 4 avril prochain à Itajaí, au Brésil.
« Comme vous pouvez le voir sur la cartographie, » a déclaré le skipper, « nous n'avons aucun problème pour continuer à naviguer. Mais si nous continuons à planter violemment contre les vagues, nous risquons d'aggraver la situation et nous voulons la contrôler.
« Jusqu'à présent, nous avons renforcé la section qui est délaminée et fragilisée. Le problème est que rien ne sèche à bord et qu'il faut sans arrêt refaire des réparations. À terre, ce serait un jeu d'enfant. Mais ici, en mer, avec le froid qui règne (entre cinq et neuf degrés), tout est plus difficile. »
Avec Abu Dhabi Ocean Racing à plus de 1000 milles et CAMPER qui prévoit de s'arrêter au Chili, Telefónica a encore toutes ses chances pour monter sur le podium.
Source : Volvo Ocean Race