A quelques jours du départ vers Auckland, c'est l'occasion de faire le point sur la course avec Franck Cammas.
La prochaine étape vers Auckland est-elle un moment clé dans la course ?
Forcément, on est complètement dans le vif du sujet. Telefonica pourrait prendre un ascendant très fort et s'échapper vraiment mais il restera plus de points encore à prendre après Auckland, il ne faut pas l'oublier ! C'est évidemment l'occasion pour nous tous de revenir sur les Espagnols. Et c'est sûr qu'on serait heureux que Brad (Marsch)soit le premier Néo-Zélandais à arriver chez lui ! On va tout faire pour ! La Nouvelle-Zélande est un pays de passionnés de voile et de bateaux. On s'attend à un accueil extraordinaire.
L'escale était assez longue ici en Chine. Cela a-t-il cassé le rythme de la course ?
Pas si longue que ça ! On a eu un peu moins d'une semaine de vacances. C'était juste ce qu'il faut pour se remettre en forme et repartir avec la motivation pour la prochaine étape.
Un peu nerveux pour la prochaine étape, qui s'annonce ventée ?
On s'attend à des conditions difficiles jusqu'aux Philippines. On va avoir droit à du vent assez fort de face, chose assez normale dans la région. On est toujours un peu inquiet dans ces conditions où le bateau et le gréément souffrent beaucoup. On sait que lors de la précédente édition, il y a eu pas mal de casse dans ces mers-là. Il faudra ménager bateaux et équipages.
Hâte de retrouver les mers de Sud ?
On a envie de goûter au portant et à la brise, qu'on va enfin trouver dans le Pacifique, alors que depuis 3 étapes, on a eu beaucoup de vent de face. J'espère revenir à des conditions plus classiques pour les bateaux. Et l'In-Port de samedi s'annonce venté aussi. Tant mieux !
Propos recueillis par Volvo Ocean Race
Credit : I. Roman / VOR
La prochaine étape vers Auckland est-elle un moment clé dans la course ?
Forcément, on est complètement dans le vif du sujet. Telefonica pourrait prendre un ascendant très fort et s'échapper vraiment mais il restera plus de points encore à prendre après Auckland, il ne faut pas l'oublier ! C'est évidemment l'occasion pour nous tous de revenir sur les Espagnols. Et c'est sûr qu'on serait heureux que Brad (Marsch)soit le premier Néo-Zélandais à arriver chez lui ! On va tout faire pour ! La Nouvelle-Zélande est un pays de passionnés de voile et de bateaux. On s'attend à un accueil extraordinaire.
L'escale était assez longue ici en Chine. Cela a-t-il cassé le rythme de la course ?
Pas si longue que ça ! On a eu un peu moins d'une semaine de vacances. C'était juste ce qu'il faut pour se remettre en forme et repartir avec la motivation pour la prochaine étape.
Un peu nerveux pour la prochaine étape, qui s'annonce ventée ?
On s'attend à des conditions difficiles jusqu'aux Philippines. On va avoir droit à du vent assez fort de face, chose assez normale dans la région. On est toujours un peu inquiet dans ces conditions où le bateau et le gréément souffrent beaucoup. On sait que lors de la précédente édition, il y a eu pas mal de casse dans ces mers-là. Il faudra ménager bateaux et équipages.
Hâte de retrouver les mers de Sud ?
On a envie de goûter au portant et à la brise, qu'on va enfin trouver dans le Pacifique, alors que depuis 3 étapes, on a eu beaucoup de vent de face. J'espère revenir à des conditions plus classiques pour les bateaux. Et l'In-Port de samedi s'annonce venté aussi. Tant mieux !
Propos recueillis par Volvo Ocean Race
